EXERCICE N° 1 : Remplir les espaces vides

EXERCICE N° 2 : Choix multiple

EXERCICE N° 3 : Vidéo interactive

EXERCICE N° 4 : Vrai ou Faux

EXERCICE N° 5 / Glisser les mots

1ère Année du baccalauréat

Le Dernier Jour D’un Condamné, VICTOR HUGO



Le Dernier Jour D’un Condamné, VICTOR HUGO
Titre de l’œuvre
L’auteur de l’œuvre
Le genre littéraire
La date de publication
Le siècle / l’époque
Le personnage principal
Le Dernier Jour D’un Condamné
Victor Hugo
Roman à thèse
1829
XIXème siècle
Le condamné à mort (le narrateur)

La biographie de l’auteur : Victor Hugo est né à Besançon en 1802 et mort en 1885.. Il a connu une enfance difficile à cause des disputes de ses deux parents. En 1809, la famille s’installe à Paris et les parents se séparent. Il est élevé par sa mère. Il a fait des études de mathématiques et de droit. A l’âge de 20 ans il a publié : Odes, en 1822. En même année, il s’est marié avec Adèle Foucher, amie de son enfance avec laquelle il a quatre enfants. Victor Hugo est un dramaturge, romancier, poète et homme de politique. En 1841, il entre à l’Académie française. A cause de ses positions politiques, Hugo se fait exilé à Bruxelles puis à Jersey et enfin à Guernesey. En 1870 il est accueilli à Paris comme un héros national.
Parmi ses écrits : - Han d’Islande 1823 / Notre-Dame-de Paris en 1831 / Le Dernier Jour D’un Condamné en 1829 / Les orientales en 1829 / Ruy Blas en 1838 / Les Misérables en 1862 …etc
Questions de compréhension sur l’ensemble de l’œuvre

Qui a écrit Le Dernier Jour D’un Condamné ?
C’est Victor Hugo qui a écrit Le Dernier Jour D’un Condamné.
En quelle année ?            en 1829.
Quel est le genre de l’œuvre ?   C’est un roman à thèse.
Quel est le thème du roman ?
Le thème du roman c’est : La peine de mort.
Quelle est la thèse de l’auteur ?
La thèse de l’auteur c’est : Abolir la peine de mort.
Pourquoi est-il emprisonné ?
Il est emprisonné parce qu’il a commis un crime de sang.
A quelle peine est condamné le narrateur ?
Il est condamné à la peine de mort.
Où le narrateur est-il emprisonné ?
Il est emprisonné à Bicêtre.
Où le coupable doit être exécuté ?
 Il doit être exécuté à la place de Grève (lieu des exécutions)
Pourquoi l’auteur a-t-il utilisé des mots appartenant au registre familier ?
 Il a utilisé des mots appartenant au registre familier pour ancrer son texte dans la réalité (lui donner une teinte réaliste).
Pour quelles raisons, le condamné a-t-il décidé d’écrire son journal ?
Il a décidé d’écrire son journal pour deux raisons : - Atténuer sa souffrance et attirer des gens sur la question de la peine de mort.
Quelle sont les possibilités que le condamné a entrevues pour être sauvé ?
Il compte sur le pourvoi en cassation / l’évasion / la grâce.
Comment s’appelle le condamné ?
Le condamné n’a pas de nom. Victor Hugo n’a pas voulu lui donner de nom pour que sa thèse ait une dimension universelle. V. Hugo a dit : « je voulais plaider la cause d’un condamné quelconque, exécuté un jour quelconque pour un crime quelconque. »
A quelle heure le condamné doit être exécuté ?
Il doit être exécuté à 16h.
Qu’est-ce que le gendarme de la conciergerie a demandé au narrateur ?
 Il lui demande de revenir après la mort dans son sommeil pour lui indiquer les trois numéros gagnant à la Loterie.
Est-ce que Marie la fille du narrateur a reconnu son père ?
Non, elle ne l’a pas reconnu parce qu’elle l’a appelé Monsieur et lui a dit que son père est déjà mort.
Quel crime a-t-il commis ?
Tout ce qu’on sait c’est qu’il a commis un crime de sang.
Pourquoi l’auteur a-t-il fait l’ellipse de l’histoire du crime du condamné ?
Il a fait l’ellipse du crime pour poser le problème dans sa généralité (c’est pour cette raison aussi qu’il ne cite pas le nom du condamné) ; ensuite pour atténuer l’impact du crime et toucher le lecteur.
Que sait-on sur lui ?
On sait qu’il est jeune, qu’il a été bien éduqué, qu’il a une fille de trois ans, une femme et une mère.
Pourquoi l’auteur a-t-il mis trois points de suspension à la fin du roman ? 
L’auteur a mis trois points de suspension à la fin du roman pour laisser d’abord planer un doute sur l’exécution du narrateur ; on ne sait pas s’il a été gracié où s’il a été exécuté.
Pourquoi a-t-il mis quatre heures en lettre majuscules ?  
Cela signifie que l’exécution a eu bel et bien lieu à quatre heures de l’après-midi. (Une raison pour justifier son exécution)
A qui parle le narrateur ?
Le narrateur parle à lui-même. (C’est un monologue intérieur)



D’après votre lecture de l’œuvre complétez le tableau suivant :


Tel qu’il se présente dans l’œuvre, le narrateur est :

Vrai
Faux
Analphabète

X
Célibataire

X
Discipliné
X

croyant
X


-« Le moindre mouvement d’avant en arrière lui ferait sauter le crâne comme une coquille de noix »
a-Identifiez la figure de style employée dans cette phrase.
 Il s’agit d’une comparaison.
b-D’après-vous sur quoi l’auteur veut-il insister en employant cette figure ?
L’auteur veut insister sur la fragilité du comparé (les forçats).
-« …des femmes, des hommes, des enfants étaient debout sur le parapet. »
a- Identifiez la figure de style dans cet énoncé.               
C’est l’énumération.
b-Quel est l’effet de sens recherché par l’emploi de cette figure de style ?
Il veut insister sur le nombre de gens présents et leurs différents âges.
A votre avis, Victor Hugo, a-t-il contribué à l’abolition de la peine de mort ? Expliquez comment.              
 Oui, Victor Hugo a contribué à l’abolition de la peine de mort parce qu’aujourd’hui en France la peine de mort est abolie.
Pour quelle raison V.Hugo n’a pas indiqué le motif de la condamnation du narrateur ?
Victor Hugo n’a pas mentionné le motif de la condamnation pour donner à son plaidoyer une dimension universelle.
Résumé du roman + Questions et Réponses
 Chapitre1 : Le roman s’ouvre par une réflexion sous forme d’un monologue interne : emprisonné à Bicêtre, le narrateur se rappelle de son passé de liberté. Mais actuellement il est prisonnier de corps et d’esprit. Il est condamné à mort.
Questions + Réponses
A quelle personne est mené ce récit ?
Le récit est mené à la première personne parce que le narrateur est lui-même le personnage.
Où se trouve le narrateur ?
 Il se trouve dans la prison de Bicêtre à Paris.
Qu’est-il arrivé au narrateur ?
 Il est condamné à mort et il attend son exécution.
Relevez deux marqueurs de temps et dites à quoi ils servent.
 « Autrefois » et « maintenant » ces deux marqueurs de temps servent à indiquer le passé de liberté et le présent d’emprisonnement.
Quelle idée obsède l’esprit du narrateur ?
Une seule idée préoccupe l’esprit du narrateur c’est : Condamné à mort.
Comment le narrateur qualifie-t-il cette idée ?
Il qualifie cette idée d’obsession infernale. Il la décrit comme une femme qui le secoue avec ces deux mains, qui le poursuit et qui empoisonne sa vie.
Comment l’univers carcéral est-il décrit ?
L’univers carcéral (la cellule/ le cachot) est décrit comme lieu lugubre, sombre, humide et sale. Il inspire la mélancolie et l’angoisse : « l’horrible réalité, dalle mouillée et suante, les rayons pales de ma lampe, la trame grossière de la toile de mes vêtements, la sombre figure du soldat.
Chapitre2 : Dans ce chapitre, le narrateur fait un retour en arrière pour raconter son procès qui a duré environ trois jours. Ce chapitre est divisé en deux parties :
a-        ce que ressentait le narrateur durant les deux jours qui précède la proclamation de la sentence.
b-        ce que ressentait le narrateur pendant le jour de la proclamation de la sentence.
Questions + Réponses
Quel est l’événement relaté dans ce chapitre ?
Le narrateur relate son procès.
Qu’est-ce qui montre que le narrateur ressent le poids du temps ?
Durant les deux premiers jours, le narrateur fut ennuyé par la lenteur du procès et par le poids du temps d’où la répétition de « trois jours », la répétition du verbe « passer » et l’utilisation de l’imparfait à valeur durative.
Comment le narrateur juge-t-il le monde qui l’entoure ?
Il juge le monde qui l’entoure comme un monde hostile. Cette hostilité est soulignée par le recours au pluriel et la l’énumération : « les spectateurs, les juges, les témoins et les jurés. » par opposition à un singulier représenté par « je » (le groupe contre l’individu).
Quel sentiment éprouve le narrateur dans ces moments d’attente ?
Le sentiment qu’il éprouve est la peur parce que le moment de la proclamation approche.
Qu’est-il arrivé au narrateur à la fin des deux premières nuits de son procès ?
 Le narrateur n’a pas dormi durant les deux premières nuits parce qu’il avait peur de la sentence.
Qu’a fait le narrateur une fois remis dans sa cellule ?
Quand il fut remis la troisième nuit dans sa cellule, il a dormi profondément parce qu’il était très fatigué et épuisé. Il a connu un moment de repos et d’oubli.
Comment la salle d’audience est-elle décrite ?
Le narrateur a décrit la salle d’audience comme un lieu sombre, les juges comme des bourreaux et les spectateurs comme des stupides. La description de la salle d’audience renforce une fois l’hostilité du monde.
Quels sentiments avait le narrateur avant puis après la proclamation de sa sentence ? Dites pourquoi.
Avant la proclamation, il avait un sentiment de joie et de bonheur car il avait confiance en les jurés, mais après la proclamation de la condamnation à mort il était choqué et complètement effondré parce qu’il n’avait plus l’espoir d’être un jour libéré.
Relevez une image qui illustre l’effet de la sentence sur le narrateur.
L’effet de la sentence sur le narrateur est illustré comme un édifice qui s’effondre.
Comment le narrateur a-t-il réagit quand il a entendu la proclamation de sa sentence ? 
Le narrateur s’est effondré quand il a entendu sa sentence parce qu’il croyait que les jurés allaient être cléments avec lui.
Comment est présenté l’avocat dans ce chapitre ?  
Comme quelqu’un qui fait tout simplement son travail ; les souffrances du condamné ne l’intéressent pas. Il est indifférent aux problèmes du narrateur.
Chapitre 3 
Retour au monologue interne. Le narrateur pense que tous les humains sont des condamnés à mort. Ce qui diffère c’est la manière et le temps.
Questions + Réponses
Que pense le narrateur de la condamnation à mort ?
Le narrateur pense que tous les humains sont des condamnés à mort.
De quoi souffre le narrateur une fois mis dans sa cellule ?
Le narrateur souffre de l’indifférence des autres, de leur insensibilité et de leur incompréhension.
Quelle attitude adopte-t-il face à sa situation ?
Face à un monde qui lui est hostile, le narrateur se résigne et s’abandonne à son triste sort.
 Chapitre 4
Retour au récit de l’incarcération à Bicêtre. Il arrive à Bicêtre en attendant le pourvoi en cassation. De loin, la prison ressemble à un château de roi, mais de près, elle est délabrée et vétuste.
Questions + Réponses
Où le narrateur a-t-il été transféré ?
Le condamné a été transféré à la prison de Bicêtre en attendant son exécution.
Que décrit le narrateur dans ce chapitre ?
Le narrateur décrit la prison de Bicêtre.
Comment cet édifice est-il décrit ? Dites quelle impression dégage cette description ?
De loin cette prison est décrite comme un palais, mais de près elle est décrite comme un lieu vétuste et lugubre. L’impression qui se dégage de cette description est une impression de mort. Un lieu qui tue.
Comment s’organise la description de cet édifice ?
La description va du général vers le particulier.
Relevez les indicateurs spatiaux qui organisent la description. (Ici/ de loin/ au front/ à distance/ de près…)

Chapitre 5 :
Suite du récit de l’incarcération à Bicêtre. Les premières jours à Bicêtre, le condamné a été bien traité mais brutalisé par la suite comme tous les autres. Certaines faveurs lui ont été accordées comme le papier, l’encre, les plumes, et une lampe. Il pouvait sortir chaque dimanche dans le préau.
Questions + Réponses
Comment le narrateur a-t-il été accueilli une fois arrivé à Bicêtre ?
Le narrateur a été accueilli avec violence. Il était considéré comme un objet d’où l’emploi de la métaphore  « des mains de fer s’emparèrent de moi. »
Comment le narrateur a-t-il été traité dans la prison ?
Au début il est bien traité mais par la suite il est maltraité.
Relevez le champ lexical de l’emprisonnement (la prison). Camisole de force / emprisonna / brutalité / le bourreau/ paralysé.
Quelle procédure judiciaire a-t-il suivi après sa condamnation ?
Après la condamnation, le condamné doit suivre son procès en cassation. Cela prend environ six semaines.
Comment trouve-t-il les autres détenus (les prisonniers) ?
Il trouve les autres prisonniers bons et misérables.
Comment le narrateur se sent-il considéré ? Justifiez votre réponse.
 Le narrateur se sent considéré comme un animal qu’on lâche dans une cour « on me lâche » ou bien comme une chose « … parlent de moi, devant moi, comme d’une chose. »
Quelle faveur a-t-on accordé au narrateur ?
En prison, on a donné au narrateur l’encre, du papier, des plumes et une lampe de nuit pour écrire.
Qu’apprend-on de plus sur le condamné ?
On apprend sur le narrateur qu’il est jeune « ma jeunesse », qu’il est gentil et docile « ma docilité », qu’il est cultivé parce qu’il parle le latin et qu’il est poli.

Chapitre 6 :
Ce chapitre est un monologue intérieur. Le narrateur a décidé d’écrire pour oublier ses souffrances et surtout pour communiquer son malheur aux autres. Il veut écrire son journal de souffrances dans le but de faire savoir à ceux qui condamnent que la peine de mort est un châtiment extrêmement dur.
Questions + Réponses
Quelle forme de discours utilise le narrateur dans ce chapitre ?
Ce chapitre est un discours intérieur.
Pourquoi le narrateur a-t-il décidé d’écrire ?
Le narrateur a décidé d’écrire pour oublier ses souffrances et ses angoisses et surtout pour communiquer son malheur aux autres.
Que veut-il écrire ?
 Le narrateur veut écrire le journal de ses souffrances.
Comment appelle-t-il ce qu’il va écrire ?
Journal de souffrances.
Dans quel but veut-il écrire ?
Il veut écrire son journal de souffrances dans le but de faire savoir à ceux qui condamnent que la peine de mort est un châtiment extrêmement dur.
Combien de voix y a-t-il dans ce chapitre ?
 Dans ce chapitre, il y a deux voix : celle du narrateur qui cherche la clémence et celle de l’auteur Victor Hugo qui fait un plaidoyer pour l’abolition de la peine de mort.


Chapitre 7 :
Le narrateur espère qu’on s’intéresse à sa situation. Mais l’idée de la condamnation le torture et l’obsède toujours.
Questions + Réponses
Comment le narrateur se sent-il en prison ?
Le narrateur se sent coupé du monde et de la vie. Il se sent déjà mort.
Qu’espère-t-il obtenir ?
Le narrateur espère obtenir une grâce royale.
A qui s’adresse-t-il dans ce chapitre ? Relevez un indice qui le montre.
Le narrateur s’adresse aux responsables qui condamnent pour qu’ils évitent les mêmes souffrances à ceux qui seront condamnés « que cela arrête le juge prêt à juger, que cela sauve des malheureux, innocents ou coupables de l’agonie à laquelle je suis condamné. »
Comment le narrateur vit-il en prison ?
Le narrateur vit dans une angoisse éternelle à cause de l’idée de la condamnation.

Chapitre 8 :
Après la proclamation de la sentence, le dossier du condamné à mort est envoyé au parquet puis au ministère ensuite au procureur général pour arriver enfin chez le substitut du procureur qui applique la sentence. Ces procédures durent 6 semaines environ.
Questions + Réponses
Combien de temps durent ces procédures ?
Ces procédures durent six semaines. (3 jours de délai après la proclamation / 8 jours d’oubli au parquet / 15 jours d’attente chez le ministre / 15 de surveillance / 3 jours : le ministre renvoie au procureur général/ 1 jour chez le substitut.)
Où se passent les exécutions ?
Les exécutions se passent sur la place de grève.

Chapitre 9 :
Le narrateur regrette de laisser derrière lui une mère, une femme, une petite fille de 3 ans sans protection et sans ressources.
Questions + Réponses
Qu’apprend-on de plus sur le narrateur ?
On apprend que le narrateur a une mère, une femme et une fille de 3 ans.
Que craint le narrateur après sa mort ?
Le narrateur craint que sa famille soit détruite après sa mort parce qu’il est la seule ressource pour elle. Il craint surtout de sa petite fille qui n’aura pas de père.
Quel sentiment suscitent les paroles du narrateur chez le lecteur ?
Les paroles du narrateur suscitent de la pitié et de la compassion chez le lecteur.

Chapitre 10 :
Le narrateur décrit sa cellule. La description évolue de l’intérieur vers l’extérieur.
Questions + Réponses
Que décrit le narrateur ?
Il décrit son cachot.
Comment est organisée la description ?
La description évolue de l’intérieur vers l’extérieur.
Quelle est l’impression qui se dégage de cette description ?
Il se dégage une impression d’étouffement et d’enfermement.
Qui s’amuse à regarder le narrateur dans sa cellule ?
  Quelques étrangers viennent s’amuser à voir le condamné dans sa cellule. Cela les amuse comme si le condamné est une bête de cirque.
Qui tire profit de cet amusement ?
C’est le garde qui tire profit de cet amusement parce qu’il reçoit de l’argent en offrant ce spectacle aux étrangers.
Qu’est-ce qui renforce le sentiment d’emprisonnement chez le narrateur ?
Ce qui renforce le sentiment d’emprisonnement chez le narrateur est la vigilance de la surveillance qui ne quitte pas le narrateur des yeux.
Pourquoi tient-on à surveiller le narrateur ?
On doit garder le condamné vivant jusqu’à son exécution pour qu’il serve de modèle.

Chapitre 11 :
Le condamné passe son temps dans le cachot à lire et à déchiffrer les inscriptions sur les murs de sa cellule. Il trouve ces inscriptions comme un livre qui retrace l’histoire des hommes passés par cette cellule.
Questions + Réponses
Où se trouve le narrateur dans ce chapitre ?
Il se trouve dans le cachot.
Que fait le narrateur en attendant le lever du jour?
Il passe son temps à lire les inscriptions sur les murs de sa cellule.
Comment le narrateur trouve-t-il les inscriptions sur les murs de sa cellule ? Pourquoi ?
Il les a trouvés comme un livre qui retrace l’histoire des hommes passés par cette cellule. Ils sont intéressantes parce qu’il croit qu’il y a une vie derrière ces inscriptions.
Qu’apprend-on de plus sur le narrateur ?
 On apprend que le narrateur a commis un crime, mais on ne sait pas quel genre de crime « moi, misérable qui ai commis un véritable crime. »
Qu’est-ce qui a rappelé la mort au narrateur ?
La figure de l’échafaud (la guillotine) a rappelé la mort au narrateur.

Chapitre 12 :
Le narrateur découvre dans la cellule les noms des criminels célèbres.
Questions + Réponses
Qu’a découvert le narrateur dans sa lecture de ces inscriptions ?
Le narrateur a découvert les noms de cinq criminels célèbres : Dautin / Poulain/ Jean Martin / Castaing / Papavoine.
Quel sentiment suscitent ces noms chez le narrateur ?
Ces noms suscitent chez le narrateur un sentiment de peur et d’angoisse. La peur de mourir le saisit encore une fois.
Quelle vision le narrateur a-t-il faite en lisant les noms de ces criminels ?
En lisant ces noms sur les murs de la cellule, le narrateur a une vision étrange : le cachot parait plein d’hommes qui parlaient leurs têtes dans leurs mains. Cette vision montre à quel point le narrateur est obsédé par l’idée de la mort.
Relevez les moyens linguistiques qu’il a utilisés en parlant de cette vision.
Les moyens linguistiques qu’il a utilisé : verbes de sensation (je rêvais/ il m’a semblé/ il m’a paru / tous me montraient / j’ai fermé mes yeux / j’ai tout vu.) et des noms exprimant une sensation : (un tintement/ une lueur/ un rêve/ une vision/ une impression)
Comment le narrateur représente-t-il cette vision ?
Il a représenté cette vision comme des épouvantables spectres / une fumée/ une imagination de mon cerveau.

Quel commentaire le narrateur a-t-il fait après avoir fait cette vision ?
Après avoir fait cette vision, il considère sa cellule comme un tombeau duquel il peut échapper. Un tombeau qui a une ouverture vers l’extérieur.

Chapitre 13 :
Le récit des préparatifs des forçats (condamnés à travaux forcés) pour Toulon. Le narrateur assiste au départ des forçats pour Toulon. Il décrit le lieu, les forçats. La pluie tombe. Accablés de froid dans leur nudité, les forçats chantent leurs malheurs. Ce spectacle désolant rend le narrateur enragé. Il tente de s’enfouir mais il n’arrive pas et s’évanouie sur le champ.
 Questions + Réponses
Quel est l’événement relaté dans ce chapitre ?
 Il relate le départ des forçats pour Toulon.
Comment est-il présenté (l’événement) ?
Le départ est présenté comme une cérémonie.
Relevez le champ lexical du bruit et le champ lexical de la fête. Le bruit : bruit / on entend ouvrir et fermer / grincer / trembler / des pas précipités/ des voix s’appeler et se répondre/ tumulte.// la fête : plus gais / rire / chanter / courir / danser / fête / vous amusera / un spectacle / cri de joie
Quelle ambiance régnait à ce moment-là dans la prison ?
 Le départ des forçats crée une ambiance de fête et de cérémonie qui brise la monotonie terne de la prison.
Comment le narrateur a-t-il pu suivre le spectacle ?  
Le narrateur a pu suivre la cérémonie à partir de la fenêtre d’une cellule vide où il a été emmené avec beaucoup de précautions.
Quelle impression se dégage de la description de la cour de la prison ?
Une impression de malaise se dégage de la description de la prison et le départ des forçats
Comment s’organise la description du départ des forçats ?
La description évolue en vision panoramique.
A quel moment le narrateur-spectateur devient acteur ?  
Après le départ des forçats, les prisonniers se sont retournés voir le narrateur qui devient à son tour acteur et la joie s’éclate dans la prison.

Chapitre 14 :
Frustré et angoissé par le départ des forçats, le narrateur s’est évanouit et transporté à l’infirmerie. Après qu’il a vu les forçats, il a préféré la guillotine aux galères.
Questions + Réponses
Où se trouve le narrateur dans ce chapitre ?
Il se trouve dans l’infirmerie.
Après le réveil du narrateur à quoi a-t-il assisté ?
 Le narrateur à son réveil a assisté à la dernière phase des préparatifs au départ des forçats pour Toulon.
Comment les forçats sont-ils décrits ?
Les forçats sont décrits comme des corps sans âmes. Enchainés, ils perdent toute caractéristique humaine.
A quoi les forçats sont-ils assimilés (comparés) ?
Ils sont assimiles à des troupeaux sauvages attachés les un aux autres et entassés dans des charrettes qu’on réserve généralement au transport des animaux.
Comment la fin du départ des forçats est–elle relatée ?
La fin du départ des forçats est relatée avec amertume et désolation au point où le narrateur préfère la guillotine aux galères quand il a vu le traitement réservé aux galériens.

Quelle est l’impression produite par la description des forçats ?
Le départ des forçats crée un sentiment de malheur et de mélancolie. Le lecteur éprouve de la pitié et de la compassion envers ces forçats.

Chapitre 15 :
le narrateur retourne au cachot. L’idée de la condamnation le torture toujours. Il tient de plus en plus à la vie et il espère avoir une grâce.
 Questions + Réponses
Qu’apprend-on de plus sur le narrateur ?
On apprend qu’il est jeune, saint, robuste et ne souffre d’aucune maladie.
De quelle maladie souffre-t-il ?
La malade du narrateur n’est pas physique mais mentale. Il est angoissé par l’idée de la condamnation.
Qu’est-ce que le narrateur aurait dû envisager quand il était à l’infirmerie ?
Le narrateur pense qu’il aurait s’évadé quand il était à l’infirmerie.
Que pense le narrateur de pourvoi en cassation ?
Il pense que son pourvoi en cassation est inespéré. Ce n’est que question de six semaines.

Chapitre 16 :
Quand il était à l’infirmerie, il avait entendu une fille de 15 ans chante une chanson où il est question d’assassinat et de mort. Il est terrifié parce que tout à Bicêtre lui rappelle la mort.
Questions + Réponses
De quoi parle la chanson de la jeune fille ?
La chanson parle d’un homme qui a avoué à sa femme qu’il avait tué un homme, lui a volé son argent, sa montre et ses boucles de souliers. Il lui raconte comment les gendarmes l’ont arrêté et lui ont mis les menottes.
Qu’est-ce qui a effrayé le narrateur dans cette chanson ?
Le narrateur a été effrayé par l’histoire macabre que racontait cette fille.
Quel sentiment lui a éveillé en lui cette chanson ?  
Cette chanson suscite en lui un sentiment d’angoisse, de malheur et de mélancolie. La prison devient pour lui comme un spectre qui reparait sous plusieurs formes.

Chapitre 17 :
Le narrateur rêve de l’évasion qui ne peut se réaliser.
Questions + Réponses
Qu’est-ce que le narrateur ne cesse d’imaginer ?
Il pense à une éventuelle évasion.
Pourquoi il a utilisait le mode conditionnel ?  
Il a utilisé le conditionnel parce que l’évasion n’est pas possible.
Qu’est-ce qui explique les cris du narrateur à la fin de ce chapitre ?
Angoissé par l’idée de la mort, le narrateur plonge dans une crise d’hystérie parce qu’il ne peut pas s’évader. Ces cris sont rendus par l’emploi de phrases exclamatives et les répétitions.

Chapitres 18 /19 / 20 :
Le narrateur est terrifié parce que le guichetier et par la suite le directeur lui ont rendu visite. Ils lui ont demandé s’il a besoin de quelque chose.


Questions + Réponses
Quand se passe l’action ?
La scène se passe à  6 h du matin.
Qui a visité le narrateur ?
Le guichetier (le garde) est venu rendre visite au narrateur.
Que lui a-t-il demandé ?
Il lui demande ce qu’il voulait manger pour le déjeuner.
Qu’est-ce que le narrateur a cru ?
Pris de terreur, le narrateur a cru que l’heure de l’exécution est venue.
Quelle est la seconde personne qui a visité le condamné ?
  C’est le directeur de la prison qui est venu voir le narrateur dans son cachot.
Que lui a-t-il demandé ?
 Il vient s’assurer si le narrateur ne se plaint de rien.
Qu’est-ce qui rend cette scène tragique ?
Cette scène est tragique parce qu’on y trouve des comportements illogiques : on demande au condamné, qui n’attend que l’exécution s’il ne se plaint de rien. L’indifférence des autres rend la situation pathétique/ tragique.
Que pense le narrateur de ces visites ?
Le narrateur pense que ces visites relèvent du travail du personnel de la prison.
Quelle image le narrateur donne-t-il de la prison ?
La prison est comme un monstre qui dévore le narrateur.
Qu’est-ce qui explique l’angoisse du narrateur ?
L’angoisse du narrateur s’explique par sa prise de conscience que son heure est venue et qu’il n’a plus d’espoir d’être gracié.

Chapitre 21, 22 et 23 :
Le jour de son exécution. Un prêtre a visité le condamné et puis un l’huissier de la cour royale qui lui apprend le rejet de pourvoi en cassation. A 7h30 le condamné est transféré à la conciergerie. On la laissé enfermé dans un cabinet à la compagne d’un autre condamné âgé de 55 ans qui prendra sa place à Bicêtre.
                                                                       Questions + Réponses
Quelle est la troisième personne qui a visité le narrateur ?
 Un prêtre est venu visiter le narrateur.
Pourquoi l’huissier de la cour royal est venu visiter le narrateur ?  
L’huissier de la cour royal est venu visiter le narrateur pour lui apprendre que son pourvoi en cassation a été rejeté et pour le transférer à la conciergerie.
Comment le narrateur a-t-il appris la nouvelle ?  
Il l’a accepté d’abord puis il l’a rejetée et pense à une éventuelle évasion.
Où le narrateur a-t-il été transféré et pourquoi ?
Il a été transféré à la conciergerie pour le préparer à l’exécution.
A quelle heure le narrateur a-t-il été transféré à la conciergerie ?  
On a transféré le narrateur à 7h30min du matin.
Qu’est-ce qui montre que les condamnations étaient courantes à l’époque ?
Ce qui montre que les condamnations étaient courantes à l’époque c’est que le cachot sera occupé par un autre condamné.
Comment s’est comporté le narrateur quand le convoi est arrivé à la conciergerie ?
En arrivant à la conciergerie, le narrateur s’est ressaisi et a vaincu momentanément sa peur.
Comment les exécutions sont-elles devenues à Paris ?  
Les exécutions sont devenues à Paris de véritables phénomènes.
A quel sens sont réduites toutes les sensations du narrateur ?
 Les sensations du narrateur sont réduites à l’ouïe et à la vue.
Qu’est-ce qui donne un aspect tragique à cette scène ?
 La mort du narrateur est devenue un moment de liesse et de joie.
Qu’est-ce qui montre que le narrateur se sent déjà mort avant son exécution ?  
Ces expressions montrent que le narrateur est déjà mort avant son exécution : « je me suis levé, j’ai fait un pas ; il m’a semblé que je n’en pourrai faire un second, tant ma tête était lourde et mes jambes faibles »
Où le narrateur a-t-il été conduit ?
Le narrateur a été conduit au cabinet (bureau) du narrateur pour lui être livré.
Quelle autre mission attend l’huissier ?
L’huissier doit conduire un autre condamné à Bicêtre.
A quoi les condamnés sont-ils assimilés (comparés) ?
Les condamnés sont assimilés à la marchandise qu’on livre et qu’on reçoit ou à des gibiers : « on m’a conduit, l’huissier m’a remis, un échange, gibier. »
Où le narrateur a-t-il été déposé ?
Le narrateur a été déposé dans un petit cabinet attenant à celui du directeur.
Qui était avec le condamné dans ce cabinet ?  
Un autre condamné que l’huissier va conduire à Bicêtre.
Dans quel niveau de langue parle cet homme ?
Il parle dans une langue très relâchée (langue argotique)
Quel message veut passer Victor Hugo en citant l’exemple du vieil homme ?
Victor Hugo cite l’histoire du vieil homme pour montrer que la société est en grande partie responsable car c’est elle qui fabrique ces criminels.
Qu’est-ce que le vieil homme a demandé au narrateur ?
Le vieil homme a demandé au narrateur sa redingote car il pense la vendre pour acheter du tabac.

Chapitre 24, 25 et 26 :
Le narrateur regrette amèrement l’échange de sa redingote. Il est amené à une cellule et on lui a donné une table, une chaise et tout pour écrire. Un gendarme le surveille pour ne pas se suicider. Il a écrit une lettre à sa fille dont il a exprimé toute sa douleur et son amertume. Il accuse les hommes de laisser une enfant de trois ans orpheline.
 Questions + Réponses
Pourquoi le narrateur a accepté de changer sa redingote avec la vieille veste du vieil homme ?  
Il a accepté de changer sa redingote avec le vieil homme parce qu’il avait peur de lui.
Qu’apprend-on de plus sur le narrateur ?
On apprend qu’il est vulnérable, fragile et peureux.
Où le narrateur a-t-il été mis ?
 On a mis le narrateur dans une cellule.
Quelle faveur lui a-t-on accordé ?
 On lui a donné une table, une chaise et tout pour écrire.
Qui a partagé sa chambre et pourquoi ?
On a introduit avec lui un gendarme pour le surveiller de ne pas tenter de se suicider.
Quand se déroule cette scène ?  
Cette scène se déroule à dix heures (10 h).
Qu’est-ce qui rend cette scène si pathétique ?
Cette scène est pathétique parce qu’on y trouve des plaintes, des souvenirs de la fille du narrateur, l’expression du désespoir. La joie de foule et les souffrances du narrateur. L’image de la petite fille sans le père. L’image de la fille qui est obligée de vivre avec une réputation entachée.
Quels types de phrase emploi-t-il ?  Il emploie les phrases exclamatives et interrogatives.
Que ressent le narrateur dans ces moments de crise ?
Il ressent des douleurs morales intenses parce qu’il regrette ce qui s’est passé, il regrette d’avoir commis un crime et d’avoir entaché la réputation de sa fille pour tout le restant de sa vie.
Comment appelle-t-on le refus de mourir chez tous les êtres humains ?
Le refus de mourir chez les humains s’appelle l’instinct de survie.

Chapitre 27, 28 et 29 :
Le narrateur est pris dans un tourbillon de peur et de terreur.
Ayant déjà assisté à une exécution, il imagine la sienne. Dans un moment de délire il espère une grâce royale mais en vain.
Questions + Réponses
Montrez que la mort a une emprise totale sur l’esprit du narrateur ?
Que la mort a une emprise totale sur l’esprit du narrateur parce qu’il y pense souvent ; il envisage sa mort sous tous les angles.
De quelle machine parle le narrateur ?
Il parle de la guillotine.
Comment évoque-t-il cette machine ?
Il évoque cette machine en utilisant la périphrase ; il ne peut pas utiliser son nom mais seulement ses caractéristiques, sa forme. C’est une façon de parler de la mort en détournant le sujet de la mort. Cela montre à quel point l’idée de la mort empoisonne le temps qui lui reste à vivre.
De quoi a-t-il peur : de mourir ou de souffrir avant de mourir ?  
Le narrateur avait peur de souffrir avant de mourir.
De quoi se rappelle le narrateur dans ces moments de crise ?
Il se rappelle du jour où il a vu la guillotine quand il était libre.
Montrez que le peuple se délecte (joie) dans le spectacle des exécutions ?
Les exécutions sont devenues pour le peuple des moments de joie et de fête. Ainsi la fête commence à partir des préparatifs : la foule s’attroupe dès l’installation de l’échafaud, elle assiste au graissage de la rainure et à la décapitation.
Quand 11h a sonné à quoi le narrateur a-t-il pensé ?
Le narrateur pense que les préparatifs à son exécution sont en train de se faire.
Comparez : « je détournais la tête » et « je ne détournerai pas la tête » .
Avant sa condamnation quand il était libre le narrateur détourne la tête pour ne pas voir la décapitation, mais aujourd’hui il ne pourra pas faire parce que c’est sa tête qui va être coupée.
De qui le narrateur pense-t-il obtenir la grâce ?
Le narrateur pense obtenir une grâce royale à la dernière minute.
Que préfère-t-il à la guillotine ?
Le narrateur préfère les galères à la guillotine parce qu’il tient à la vie.

Du chapitre 30 au chapitre 42 :
 Le prêtre est revenu voir le narrateur, mais ce dernier l’a renvoyé car il veut être seul. L’architecte est venu aussi prendre des mesures pour rénover le lieu. Le gendarme a été remplacé par un autre qui a demandé au narrateur de venir le voir dans son rêve une fois mort et lui donner les trois numéros gagnant à la loterie. Sentant son heure qui approche, le narrateur se réfugie dans le rêve. Il lui reste 2h 45 min. il ressent des douleurs physiques atroces. Poussé par l’instinct de survie, le narrateur pense à Charles X en espérant une éventuelle grâce. Il décide enfin d’affronter la mort et il a demandé le prêtre. Après l’arrivé du prêtre, il a dormi quelques instant. A son réveil, on lui a annoncé la présence de sa fille.
Questions + Réponses
Qui a visité le narrateur avant sa mort ?
 Le prêtre de la prison qui est venu visiter le narrateur dans sa cellule.
Pourquoi le narrateur a-t-il voulu rester seul ?
Il voulait rester seul parce qu’il considère le prêtre de la prison comme un simple fonctionnaire qui fait son travail.
Que pense le narrateur du prêtre ?
Il pense que le prêtre ne répond pas à ce qu’il espère. Il répète un discours plat et sans âme.
Comment le narrateur qualifie-t-il la foule ?
Il l’a qualifiée de buveuse de sang comme un vampire.
Quel aspect prend la foule aux yeux du narrateur ?
La foule prend un aspect horrible aux yeux du narrateur. Elle est considérée comme un monstre avide de sang.
Quel genre de prêtre réclame le narrateur ? Pourquoi ?
Le narrateur réclame un prêtre crédible, qui ait foi, qui parle avec son âme, et son cœur et non pas un prêtre qui répète comme un perroquet les paroles qu’il apprises durant sa fonction.
Qui est entré dans la cellule du condamné (chapitre31)? Pourquoi ?
Le sous-architecte de la prison est venu prendre des mesures pour rénover les lieux.
 Qu’est-ce qui rend cette scène tragique (chapitre31)?
Le tragique de la situation est l’ignorance totale des souffrances du narrateur. Il est considéré comme un objet dont on se débarrassera une fois l’exécution terminée.
Relevez les indices qui montrent la grossièreté du sous-architecte ?
Il l’appelle criminel et sourit en lui parlant.
Qu’a ressenti le narrateur après le départ du sous-architecte ?
 Il a ressenti une profonde amertume parce qu’on parle de lui comme s’il était déjà mort.
Qu’est-ce que le gendarme remplaçant a demandé au narrateur ?
Il lui a demandé de revenir dans son rêve et lui donner les trois numéros gagnant à la loterie.
Montrez que cette scène a un caractère tragi-comique (chapitre 32) ?
Cette scène est tragicomique parce que la présence du gendarme superstitieux provoque le rire dans une situation tragique.
Comment le narrateur a tenté d’oublier ses souffrances ?
Il a tenté d’oublier ses souffrances en se réfugiant dans les souvenirs d’enfance et de la jeunesse.
Comment les souvenirs sont-ils qualifiés ?
Les souvenirs d’enfance sont qualifiés de doux et de calmes.
Qui le narrateur a-t-il rencontré dans le jardin ?
 Il a rencontré une jeune espagnole qui s’appelle Pepa.
A quel moment se passe cette scène (chapitre34) ?
Cette scène se passe à 1h de l’après-midi.
Quel événement perturbe les beaux souvenirs du narrateur ? Que ressent-il ?
Le narrateur revoit son crime et redevient angoissé après un moment de rêve. Il ressent des remords et il regrette son crime.
Que reproche le narrateur aux humains ?
Il reproche aux humains leur indifférence à ses souffrances.
Que regrette le narrateur ?
Il regrette son crime et s’apitoie sur son sort. Il apprécie la liberté quand il l’a perdue. Il regrette aussi que sa vie se termine par décapitation.
Quel souvenir évoque le narrateur dans ce chapitre ?
Le narrateur se souvient du jour où il a visité le bourdon de Notre-Dame de Paris.

Où se passe la scène relatée ?
L’événement raconté se passe au sommet de la tour de notre Dame de Paris.
Comment appelle-t-on ce procédé stylistique employé pour évoquer un récit au moment où on raconte un autre récit ?
 On l’appelle un récit enchâssé.
Quelle impression se dégage de la description de l’hôtel de ville ?
Il se dégage de cette description une impression de tristesse et de mélancolie.
Montrez qu’il vit la mort comme torture morale et physique. Le narrateur ressent un malaise physique grandissant : une violente douleur de tête / les reins froids / le front brulant / un liquide qui flotte dans mon cerveau / des tressaillements convulsifs/ les yeux se cuisent/ mal dans les coudes.
Qu’oppose le narrateur dans le chapitre 39 ?
Le narrateur oppose deux discours sur la mort : le sien et celui des responsables.
Quel procédé stylistique emploie-t-il pour le savoir ?
Le narrateur emploie le discours rapporté.
Qu’est-il arrivé à Robespierre et à Luis XVI ?
Robespierre et Lui XVI ont été exécutés.
Montrez que le narrateur vit sa mort par anticipation ?
Le narrateur vit sa mort par anticipation en imaginant comment il sera et ce qu’il va ressentir.
Comment le narrateur a-t-il décidé d’affronter la mort ?
Il décide d’affronter la mort avec courage et détermination.
Quel est le temps employé pour affronter la mort ?
Il utilise le futur simple.
Quelle forme de phrase emploie-t-il pour parler de sa mort ? Il emploie des forme impersonnelle suivie d’une complétive pour parler de la vie après la mort.
Relevez des moyens linguistiques pour exprimer des suppositions.
(il me semble que / ils sembleront / peut-être / il se peut bien aussi que / il est probable que.)
Qui réclame-t-il pour répondre à ses questions sur la mort ?
  Il réclame un prêtre faisant foi et non comme le prêtre de la prison pour répondre à ses questions.
Qu’a fait le narrateur après la visite du prêtre ?
Il s’est endormi parce qu’il a refusé le prêtre de la prison.
Quel rêve le narrateur a-t-il fait ?
 Il a fait un mauvais rêve : un soir chez lui une vieille femme est entrée en cachette dans la cuisine. Au moment où il allait la punir, il s’est réveillé.
Qu’a-t-on appris au narrateur après son réveil ?  
On lui a appris la présence de sa fille Marie.

Chapitre 43 :
 La fille du narrateur vient lui rendre visite. Elle ne le connaît pas ; cela augmente ses souffrances. Elle croit que son père est déjà mort.
Questions + Réponses
Relevez le portrait de jeune fille ?
Portrait physique : elle est fraîche / rose /a de grands yeux / belle. Portrait moral : étonnée / inquiète / elle a poussé un cri.
Quelle est l’impression qui se dégage de ce portrait ?
Son portrait dégage une impression de désolation.
Qu’a ressenti le narrateur après s’être ignoré de sa fille ?
Il a ressenti une grande amertume et un désespoir total.
Pourquoi le narrateur a dit : « je ne tiens plus à rien. » ?  Puisque la fille ne reconnaît pas son père il n’a plus de raison de vivre.
Qu’est-ce qui rend cette scène si pathétique ?
Cette scène est hautement pathétique parce qu’elle présente une situation dramatique : le narrateur n’est pas reconnu par sa propre fille, sa seul raison de vivre. Puis la fille qui a toute la vie devant elle se trouve privée de son père et de l’amour paternel.

Chapitre 44, 45, 46 :
IL pense à son exécution, à la foule, aux gendarmes et aussi à sa fille qui l’a déjà oublié et il pense lui écrire son histoire. (Il n’a pas le temps pour l’écrire)
Questions + Réponses
Comment le narrateur se prépare-t-il à affronter la mort ?
Après la triste visite de sa fille, le narrateur se sent prêt pour la mort. Alors il se concentre sur l’exécution en vivant par anticipation sa mort.
Combien de temps lui reste-t-il à vivre ?
Il lui reste une heure avant la mort.
Quel est le temps verbal employé et pourquoi ?
Le temps employé est le futur simple. Son emploi est justifié par l’approche de la mort. En plus, il vit sa mort par anticipation.
A quoi le peuple est-il assimilé (comparé) ?
Le peuple est décrit comme un être insensible aux souffrances du narrateur. Un être sadique qui tire plaisir dans les souffrances des condamnés.
Qu’est-ce que le narrateur a décidé d’écrire ?
Il décide d’écrire quelques pages pour sa fille en lui expliquant pourquoi il lui a laissé son nom de famille déshonorant.

Chapitre 48 :
On a emmené le narrateur dans une chambre au rez-de-chaussée pour le préparer à l’exécution (lui faire sa toilette).
Questions + Réponses
Où se trouve le narrateur ? Comment se sent-il ?
Il se trouve dans une chambre au rez-de-chaussée de l’hôtel de ville. Il se sent faible mais déterminé à subir sa condamnation.
Où sera-t-il conduit ? Comment le prépare-t-on à cette épreuve ?
Il sera conduit à la place de grève pour être exécuté. On le prépare en lui faisant la toilette du condamné.
Comment le peuple est-il qualifié ?  
Le peuple est qualifié d’animal qui hurle (pousse des cris).
Relevez le champ lexical du peuple animalisé.
Le peuple qui aboie/ la foule hurlait/ les mille têtes hurlantes.
Montrez que la foule est réduite à une seule voix ?
La foule est réduite à une seule voix par l’emploi des verbes comme crier, hurler, de noms comme hurlement, bruit ou d’adjectifs comme hurlante.
Comment se comporte le narrateur avant son exécution ?
Le narrateur se comporte docilement, il ne proteste pas contre ce que lui font le bourreau et ses valets, il exécute leurs ordres : « ils m’ont dit de m’asseoir ; je me suis assis. » il affronte la mort avec responsabilité et accepte son sort.
Que ressent le narrateur à l’approche de la mort ?
Le narrateur sent la mort le gagne avant même son exécution. Ainsi, ses jambes fléchissent, sa nuque reste paralysée, ses pas sont mous. Il perd certaines facultés « le cœur m’a failli, je commençais à ne plus voir, à ne plus entendre. »

Quelle est la forme de phrase la plus utilisée ? Pourquoi ?
Il utilise la forme factitive à sens passif. Le narrateur subit l’action des autres, il est déjà mort en occupant la place du COD « on m’a déposé, ils m’ont fait traverser, ils m’ont poussé… »
Relevez les étapes des préparatifs à l’exécution.  
Les préparatifs à l’exécution : on lui a coupé les cheveux/ on lui a enlevé la veste/ on lui a attaché les deux mains derrière le dos/ on lui coupé le col de la chemise/ on lui a lié les deux pieds.
Montrez que le condamné est comme un acteur qui se prépare pour jouer un rôle ?
Le narrateur est présenté comme un acteur qui se prépare à jouer son rôle : d’abord, il est présenté dans les coulisses en train de faire sa toilette ensuite il entre sur scène où il perçoit la lumière blanche, puis il est acclamé par les spectateurs venus assister au spectacle ; de plus il ressent le trac et il fait trois pas pour paraître à son public.
Peut-on le considérer comme héros tragique ? Justifiez votre réponse.
Oui, on peut considérer le narrateur comme héros tragique qui subit le sort infligé par les humains et contre lequel il se débat jusqu’à la dernière minute de sa vie mais qui finit par mourir.
Montrez que Victor Hugo théâtralise cette exécution pour banaliser la peine de mort et pour la dépasser en rendant le cas du narrateur très pathétique. Victor Hugo théâtralise cette condamnation pour montrer que la peine de mort est une mascarade sociale faite non pas pour corriger mais pour donner du spectacle au peuple avide de sang et de mort. D’ailleurs, la cellule des condamnés ne désemplit pas. Le châtiment suprême ne sert donc pas de leçon de morale puisque les crimes continuent dans la société. Les exécutions deviennent un moment de joie et de liesse et le tragique se trouve ainsi détourné. Le narrateur est présenté comme un homme responsable qui accepte son sort, qui se trouve seul dans un monde sans âme et sans pitié. Le narrateur subit les actions des autres sans protester, il inspire la pitié parce qu’il n’est pas assisté par un prêtre honnête. Il se sent seul abandonné de tout le monde même de sa fille qui ne le reconnaît pas.
Chapitre 49 :
Poussé par l’instinct de survie, le narrateur supplie un commissaire chargé de l’exécution de lui accorder quelques minutes.
Questions + Réponses
Qu’a demandé le narrateur au magistrat ?
Le narrateur a demandé au magistrat une grâce.
Comment était la réponse du magistrat ?
La réponse était négative et ironique.
Pourquoi le narrateur a-t-il demandé cinq minutes ?
Il a demandé cinq minutes en espérant une grâce à la dernière minute. Hélas ce ne fut pas le cas.
Que ressentait le narrateur avant son exécution ?
Le narrateur est pris de panique en entendant les bourreaux monter le chercher pour l’exécuter.
A quelle heure l’exécution a-t-elle lieu ?
À quatre heures de l’après-midi. (16h).





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Mourabit Mohammed 


LA BOÏTE A MERVEILLES de_ Ahmed SEFRIOUI
Titre de l’œuvre
L’auteur de l’œuvre
Le genre littéraire
La date de publication
Le siècle ou l’époque
Le personnage principal
La Boîte à Merveilles
Ahmed Sefrioui
Roman autobiographique
En 1954
XXème siècle (20ème siècle)
Sidi Mohammed

 La biographie de l’auteur : Ahmed Sefrioui est un écrivain marocain d’expression française né en 1915 à Fès. Il a fréquenté l’école coranique, puis l’école française et ensuite le collège de Moulay Driss. Parmi ses écrits : Le chapelet d’ambre / La Boîte à Merveilles / Le jardin des sortilèges./ La maison de servitude.


C'est Ahmed Sefrioui, un écrivain marocain d'expression française. Il est né à Fès en 1915 de parents berbères. Il est mort en 2004. « La boîte à merveilles» est son roman autobiographique dans lequel il retrace le parcours d'une vie simple d'un enfant né dans la médina de Fès.

Questions + Réponses sur l’ensemble de l’œuvre

-De quel genre de récit s’agit-t-il ? Justifiez votre réponse. Il s’agit d’un récit autobiographique. Le « je » pronom de l’autobiographie / « Sidi Mohammed » avec une légère modification est l’auteur du roman).
-D’après votre lecture de l’œuvre :
a-Pour quelle raison le père quitte-t-il sa maison ? Le père quitte sa maison pour aller travailler comme ouvrier agricole aux environs de Fès. Et parce qu’il a fait faillite.
b- Quel genre de travail compte-t-il faire ? Il compte travailler comme moissonneur.
-          Qui est l’auteur de La Boîte à Merveilles ? l’auteur de La Boîte à Merveilles c’est Ahmed Sefrioui.
-          Quel est le pronom employé par le narrateur ? pourquoi ce pronom ? Il a employé le pronom  « je » parce que ce récit est un roman autobiographique.
-          Est-ce que le narrateur « Sidi Mohammed » aimait aller au bain maure dans La Boîte à Merveilles ? Non, il n’aime pas aller au bain maure.
-          Quelle était l’occupation favorite du narrateur dans La Boîte à Merveilles ? Il aimait jouer avec sa boîte à merveilles.
-          Que contenait la boîte à merveilles du narrateur ? la boîte contenait des objets hétéroclites comme des clous, des boules de verre…etc.
-          Pourquoi l’auteur a employé les mots empruntés en arabe ? Il a employé des mots empruntés de l’arabe pour ancrer l’histoire dans son contexte marocain.
-          D’après votre lecture de l’œuvre, quel métier exerce chacun de ces personnages : Abdellah et Lalla Kanza ?
Abdellah c’est l’épicier et Lalla Kanza c’est une voyante (chouafa)
-          A votre avis, le narrateur a-t-il gardé un bon souvenir du bain maure ? le narrateur garde un mauvais souvenir du bain maure parce qu’il n’aime pas ce lieu même à l’âge adulte.
-          a) « je ne veux pas aller en enfer. »
b) « Dès notre arrivée nous grimpâmes sur une vaste estrade couverte de nattes. » - précisez le mode d’énonciation (le mode énonciatif) utilisé dans chacun des énoncés ci-dessus.
a) le mode d’énonciation c’est le présent de l’énonciation (1ère personne du singulier) parce que c’est le discours.

b) le mode d’énonciation c’est le passé simple (1ère personne du pluriel) parce que c’est le récit.

-          Pendant l’absence du père, le petit garçon et sa mère avaient tous les moyens pour vivre aisément. Vrai ou faux ? c’est faux parce que le père a laissé, à sa femme, seulement l’argent des bracelets qu’il a vendus pour soigner le petit qui est malade.
-          le narrateur a-t-il des frères et des sœurs ? il n’a ni frère ni sœur. Il est l’unique enfant de ses parents.
-          Le narrateur dans « La boîte à merveilles » rejette les jeux des autres car :
        a)il n’aime pas jouer
         b) il préfère rester avec sa famille
         c)il a son monde imaginaire (vrai)
-          Le narrateur Sidi Mohammed est différent des enfants de son âge. Par quoi est-il différent ? il est différent par son penchant pour le rêve, l’invisible, le monde merveilleux alors que les autres bambins de son âge se contentent de tout ce qui est concret.
-          « Moi je ne voulais rien imiter, je voulais connaître » dans cette phrase le verbe ‘’’connaître’’a-t-il pour sens :
    a)faire connaissance ?
     b) inventer ?
    c) savoir ? (vrai)

-          Quel est le prénom du père du narrateur ? le prénom du père du narrateur c’est Abdeslem
-          Quel est le prénom de la mère du narrateur ? son prénom c’est Lalla Zoubida.
-          Quel est le prénom de la voyante ? le prénom de la voyante c’est Lalla Kanza.
-          Quels sont les voisins du narrateur ? les voisins du narrateur sont : la voyante Lalla Kanza au rez-de-chaussée / Rahma et Driss el Aouad ainsi que leur fille Zineb au premier étage   /  Fatma Bziouya qui partage avec la famille du narrateur le  deuxième étage.
-          Qui est Lalla Aicha ? c’est une ancienne voisine de la famille du narrateur et amie de Lalla Zoubida.
-          Quel est le métier du père du narrateur ? le métier du père du narrateur c’est un tisserand.
-          Il a voyagé aux environs de Fès. Que compte faire le père du narrateur ? il veut travailler comme moissonneur.
-          Est-ce qu’il a amassé de l’argent ? oui, il a amassé l’argent pour rouvrir son atelier.
-          Comment on a considéré le jour du retour du père du narrateur des environs de Fès ? ce jour-là a été considéré comme un jour de fête ; tout le monde est content même les voisins qui viennent souhaiter la bienvenue à Maalem Abdeslem.


Le résumé de La Boîte à Merveilles, d’Ahmed Sefrioui.

*L'auteur-narrateur-personnage (Sidi Mohamed) raconte son enfance en commençant son récit à l'âge de six ans. Il décrit son état de solitude et cite les différents locataires de Dar chouafa ( tanta Kenza) comme Driss El Aouad ( le fabricant des charrues), sa femme Rahma et leur fille Zineb, Fatma Bziouya ( la femme d'un jardinier et voisine de la famille du narrateur en deuxième étage). Il parle aussi du Msid et de sa timide amitié avec quelques camarades de l'école coranique et relate que ses véritables amis sont les objets et les personnages imaginaires de sa boite à merveilles. Ensuite, il parle de sa mère ( Lalla Zoubida) qui l'emmena au bain maure (hammam) endroit dans lequel le narrateur sentait "l'odeur du péché". Après les dures scènes du hammam, cette dernière revient raconter tout en détails à ses voisines et à son mari le lendemain. Ce chapitre se termine par une forte discussion entre la mère de sidi Mohamed et leur voisine Rahma qui a eu l'idée de faire la lessive le même jour que la mère du narrateur, ce qui a engendré l'évanouissement du narrateur.
*Le narrateur commence ce chapitre en racontant qu'après une journée dure au Msid, il rentre à la maison et trouve sa mère souffrant d'une terrible migraine. Ainsi, après le déjeuner, la famille reçoit une visite improvisée de Lalla Aîcha (ancienne voisine de lalla Zoubida). Cette dernière réussit à la convaincre de faire une visite à Sidi Ali Boughaleb pour guérir elle et son fils. Après toutes les complications pour réaliser le voyage, le narrateur, une fois à la zaouia, se fait griffer par un chat. Cela précipite le retour à la maison. Bénéficiant d'un congé, le narrateur assiste à la scène de l'habillage du père et reçoit un cabochon en verre à facette de Rahma pour sa boite à merveilles.
*Après une description de l'ambiance de l'école coranique, le narrateur rentre à la maison et il trouve que la chambre de Fatma Bziouya brillait d'un éclat inaccoutumé. Quand sa mère a vu que sa voisine avait une lampe à pétrole pour s'éclairer, elle finit par convaincre le père d'acheter une lampe pour eux aussi. Le lendemain matin, Rahma , qui était sortie pour assister à un baptême , revient en pleurant car elle avait perdu sa fille Zineb dans la foule…Après avoir trouvé la fille , Rahma organise un repas pour les pauvres pour remercier Dieu.
*Pendant les premiers jours du printemps, lalla Zoubida et le narrateur étaient invités à la maison de Lalla Aîcha qui habitait Zankat Hajjama. La femme qui était épiée par ses voisines, les loua à haute voix et chuchota à l'oreille de Lalla Zoubida sa véritable pensée. Sidi Mohamed jouait avec les enfants de la maison, et Lalla Aîcha et sa mère parlaient de Rahma. Le mari de Lalla Aicha ( Moulay Larbi Alaoui) rentre soudainement à la maison et demande à parler avec sa femme en privé, cette dernière raconta ensuite à Lalla Zoubida les problèmes de son mari avec son associé Abdelkader. La mère du narrateur raconte ces problèmes à son mari.
*Un mercredi, le Fquih, de bonne humeur, expliqua ses projets pour l'Achoura Quand le narrateur revient du Msid à la maison, il trouve sa mère en visite à Lalla Aicha, de retour, elle raconta les malheurs de cette dernière à Fatma puis à Rahma. Ensuite des cris annoncent la mort de Sidi Mohamed Ben Tahar (le coiffeur)…Le chapitre finit par une mésaventure du narrateur provoquée par le chat de Zineb qui lui a volé la chaîne de vert-de-gris offerte par sa mère.
*Les préparatifs pour l'Achoura commencent au Msid, le Fquih distribua les travaux par groupe. Le narrateur était fier d'être le chef des frotteurs. Le lendemain matin, il accompagna sa mère au Kissaria pour acheter un gilet. A son retour, il mène une dispute avec Zineb sans raison. Ensuite, le narrateur avait faim et commençait à rêver d'être un prince qui offre des repas aux mendiants. Après un moment, on écoute Rahma qui raconte L'histoire d'un couple (Khadija marié au vieux Othman.).
*La veille de l'Achoura, les femmes s'achètent des bendirs et des tambours. Le père du narrateur lui offre une trompette. Au Msid, il participa à l'équipement des lustres pour la nuit de L'Achoura. Le lendemain, le père de Sidi Mohamed l'emmène au coiffeur …Le jour de L'Achoura, le narrateur mit des vêtements neufs et alla au Msid pour les célébrations…Chez lui et après le repas de fête, sa famille reçoit une visite surprise de Lalla Aicha.
*Avec l'arrivée de la chaleur, les mouches envahissent la maison. Le Msid fut déménagé dans un petit sanctuaire. Un lundi, le père du narrateur rentre tôt à la maison pour accompagner sa femme au Souk des bijoux pour lui acheter des bracelets soleil et lune. Une fois au Souk, le père du narrateur entre dans une dispute avec un dellal malhonnête, ce qui provoqua sa perte dans la foule. La famille rentre donc à la maison pour attendre et pleurer. Plus tard, le père rentre avec les bracelets que sa femme refuse de prendre après les événements vécus à cause de ces bijoux. Après ces malheurs, le narrateur devint véritablement malade.
*Sidi Mohamed recevait des soins de sa mère pour guérir de sa fièvre. Le père de ce dernier annonce à sa femme qu'il avait perdu son capital pendant les enchères aux haiks. Ils ont décidé de vendre les bracelets. Ensuite le père prend la décision d'aller travailler aux environs de Fès pour résoudre ce problème. En partant, il laisse l'argent des bracelets à sa famille qui va vivre dans la solitude pendant l'absence du père. Pour accélérer la guérison du narrateur, Fatma lui apporte un genre de médicament à base de colle de farine "tadeffi". Ensuite la mère et son fils se rendent à la maison de Lalla Aicha pour rendre visite à un Fquih appelé Sidi El Arafi au quartier Seffah.
*Le narrateur sa mère et son amie Lalla Aicha arrivent chez le fquih. Ce dernier commence à présenter les prédictions voilées de ses visiteurs. Cette visite au voyant est restée cachée aux voisines de Lalla Zoubida qui leur a dit qu'elle était allée aux sanctuaires de la ville. Elle annonce à son fils qu'elle a décidé de le garder à la maison et de l'emmener chaque semaine prier sous la coupole d'un saint…Un matin elle reçoit la visite d'un envoyé de son mari qui lui apporta quelque nourriture.
*Après une invitation de la part de Lalla Aicha, le narrateur et sa mère se rendent chez elle. Lorsque les deux femmes étaient en train de converser, Salama (la marieuse) rend visite à Lalla Aicha et lui parle de son rôle dans le remariage de Moulay Laarbi avec la fille du coiffeur et les échecs de cette union. Zhor (la voisine de Lalla Aicha) arrive et apporte de nouveaux renseignements sur le mariage de ce couple. Cette scène se termine par un incident de la part du narrateur qui a renversé son verre de thé.
* Le dernier jour de cette histoire était plein de joie depuis ses premières heures du matin. Allal El Yacoubi (envoyé du père du narrateur), vient pour s'assurer de l'état de Sidi Mohamed. Soudain, Zineb vient annoncer qu'elle a vu Maalem Abdeslem près de la mosquée. Plus tard ce dernier rentra chez lui chargé de deux poulets et de la nourriture. Pendant que le narrateur parle avec son père, Driss El Aouad vint visiter le père et entre dans une longue conversation avec lui. Cette scène ennuya le narrateur et le poussa à se laisser emporter par le sommeil avec sa boite à merveilles à la main.
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Questions + Réponses

                                                                      Chapitre_1

-          Pourquoi le narrateur ne dort- il pas ?
-          le narrateur ne dort pas parce qu’il est écrasé par le poids de la solitude
-          Qu’est-ce qui montre que le narrateur va faire un retour en arrière ?
-          Ce qui montre que le narrateur va faire un retour en arrière c’est :« ma solitude ne date pas d’hier… »
-          Donnez un synonyme de « impasse » dans le deuxième paragraphe.
-          Le synonyme c’est « ruelle »
-          Quel est l’exemple qui montre que le narrateur était solitaire à l’âge de six ans ?
-          L’exemple qui montre que le narrateur était solitaire à l’âge de six est le fait qu’il voulait attraper un moineau « oiseau » pour en faire son compagnon.
-          Où habitait le narrateur ?
-          Le narrateur habitait au deuxième étage de dar chouafa. Une maison collective.
-           
-          A quoi réfère « nous » dans « nous habitions.. » ?
Le « nous » réfère au narrateur et à sa famille.
-          La voyante du rez-de-chaussée était adepte de quelle confrérie ?
La voyante du rez-de-chaussée était adepte de la confrérie Gnaouas.
-          A quoi s’adonner la voyante chaque moi ?
Chaque mois la voyante s’adonnait à un rituel de musique et de danse nègre à travers des nuages de Benjoin et de l’encens pour évoquer les Jnouns.
-          De combien d’étages se compose dar chouafa ? donnez les locataires respectifs de chaque étage.
-           Dar chouafa se compose d’un rez-de-chaussée occupé par la voyante, au premier étage habitait DrissEl Aouad, sa femme Rahma et leur fille âgée de sept ans (une seule chambre).  le deuxième étage était partagé entre Fatma Bziouya et la famille du narrateur.
-          Qu’arrivait-elle à la chouafa pendant la morte saison ?
Pendant la morte saison la chouafa découvrait ses propres maux et s’occupe de sa santé.
-          A quoi le narrateur assimile-t-il sa mémoire à l’âge de six ans ?
 Il assimile (compare) sa mémoire à un album qui l’aide à égayer sa solitude d’adulte.
-          Quelle est la valeur du présent dans « le soir, il rentre le cœur gros et les yeux rougis..… » ?
C’est un présent de narration qui marque l’importance des souvenirs d’enfance dans la vie d’adulte du narrateur.
-          Qu’est-ce qui distinguait le narrateur des autres enfants de six ans ?
Les autres enfants de six ans cherchaient à imiter alors que le narrateur voulait connaître.
-          Où se trouve l’école coranique du narrateur ?
L’école coranique du narrateur se trouve à Derb Nouala.
-          Quel sentiment éprouve le narrateur pour le bain maure ?
L’auteur éprouve de la répulsion et y décèle (découvrir) une odeur de péché.
-          Relevez le champ lexical du malaise du narrateur dans le bain maure.
Le champ lexical du malaise du narrateur : rester bête / sentir seul / l’enfer / tremblant de fièvre et de peur.
-          A quoi se livrait le narrateur quand sa mère ne le portait pas au bain maure ?
L’auteur se livrait à ses fantaisies en jouant dans le derb ou en inventant les trésors de sa boîte à merveilles.
-          Comment le narrateur considère-t-il les objets de sa boîte à merveilles ?
Le narrateur considère les objets de sa boîte à merveilles comme des amis.
-          A quoi réfère le narrateur quand il parle de « ses relations dans le monde de la légende » ?
Le narrateur réfère à ses amis imaginaires.
-          Quelles sont les fonctions du bain ?
Le bain servait à se purifier et à colporter (raconter) les potins et les commérages.
-          A quoi est dû le succès de la mère du narrateur auprès de ses voisines ? 
Le succès de la mère du narrateur est dû à son talent de raconter les histoires et toutes les choses vécues ou vues dans le bain maure.
-          Montrez que la mère du narrateur a tendance à la dramatisation ?
La mère du narrateur a tendance à la dramatisation parce qu’elle passe du rire le matin aux pleurs le soir, et ne manquait pas de donner au moindre incident les proportions d’une véritable catastrophe.
-          Dans quelle ville vit le narrateur ? quelles sont les origines de sa famille ?
La famille du narrateur vit à Fès et elle est d’origine montagnarde.
-          Est-ce que le mari croit en l’innocence de sa femme ? justifiez à partir du texte ?
Non, le mari ne croit pas en l’innocence de sa femme comme en témoigne la réplique suivante :  « avec qui t’es-tu encore disputée ? »


-          Pourquoi le narrateur s’évanouit-il ? 
Le narrateur s’évanouit parce qu’il ne pouvait plus supporter le bruit occasionné par la reprise de la dispute entre sa mère et Rahma.
-          Quelle est l’instance qui raconte dans le texte ? donnez sa valeur et montrez sa relation avec le genre.
L’instance qui raconte dans le texte est le « je » qui réfère à l’auteur, au narrateur et au personnage principal. Cela valide le genre de l’œuvre qui est un roman autobiographique.


                                                                      Chapitre_2

-          A quoi était consacré le matin au msid ?
le matin était consacré aux révisions des chapitres du Coran appris depuis l’entrée au msid.
-          Qui est Lalla Aicha ? et que conseille-t-elle à Lalla Zoubida ?
Lalla Aicha est une chérifa et ancienne voisine. Elle a rendu visite à Lalla Zoubida et elle lui a conseillé d’aller visiter Sidi Ali Boughaleb pour soulager ses maux de tête et pour guérir le petit Sidi Mohammed des yeux des envieux. 
-          Relevez le portrait de Lalla Aicha.
Elle est plus large que haute, la tête reposant sur le tronc ; des bras courts.
-          Une fois arrivé à Sid Ali Boughaleb que se passe-t-il ?
Une fois arrivé à sidi Boughaleb, la mère prit un peu d’eau en aspergea l’enfant en marmonnant de vagues prières et arrivant devant le catafalque, lalla Aicha et lalla Zoubida entrèrent dans un délire sacré.
-          Est-ce que les vertus attribuées à Sidi Ali Boughaleb se concrétisent-ils ?
non ; les vertus attribuées à sidi boughaleb ne se concrétisent pas puisque le narrateur au lieu d’être guéri il y est griffé à sang par un gros matou ( chat)
-          quel est le cérémonial des matinées à dar chouafa ?
le cérémonial à dar chouafa chaque matin est le suivant : les habitants se réveillent chacun à son rythme et échangent les salutations d’usage.
-          quelle récompense reçoit Sidi Mohammed le lendemain de sa visite à sida Ali boughaleb ?
il reçoit deux beignets qui lui sont offerts par Fatma.
-          quelles sont les origines de la famille du narrateur et quel est le métier de son père ?
la famille du narrateur est d’origine montagnarde et le métier de son père est tisserand.
-          Qui sont les employés du père narrateur ?
les employés du père du narrateur sont : un vieux qui aidait le père et Driss le teigneux qui garnissait les canettes et faisait les commissions.
-          Qu’est-ce qui montre que la famille du narrateur est assez aisée ?
ce qui montre que la famille du narrateur est assez aisée sont les dépenses domestiques du foyer qui étaient relativement importantes et aussi le fait que la famille mangeait la viande trois à quatre fois par semaine.
-          Quel cadeau a donné Rahma à Sidi Mohammed ?
Rahma a donné un cabochon de verre à facette que le narrateur ajoute aux trésors de sa boîte à merveilles.
                                                           Chapitre_3

-          Comment le narrateur passe-t-il sa journée au msid ?
Le narrateur s’ennuie et attend l’heure de sortie avec impatience.
-          Quel signe annonçait la fin de la journée au msid le vendredi ?
-          quand les élèves commençaient quelques vers de Bnou achir et les prières pour implorer la miséricorde de Dieu ; cela signifie le retour à la maison.
-          Pourquoi la chambre de Fatma Bziouya brillait-elle d’un éclat inaccoutumé ?
elle brillait d’un éclat inaccoutumé parce qu’elle avait acheté une lampe à pétrole.
-          Qu’est-il arrivé à Rahma ?
Elle a perdu sa fille zineb en se rendant au baptême de sa sœur khadija.
-          Montrez comment le malheur efface les disputes et consolide les liens des habitants.
 La mère de sidi Mohammed oublie sa dispute et court pour soutenir sa voisine dans son malheur.
-          Montrez comment la perte d’une jeune fille bascule du tragique au comique.
 La perte de Zineb cause beaucoup de peine à Rahma ; les voisines voulant partager le malheur de leur voisine chacune pleure pour des raisons différentes et surtout le narrateur qui pleure parce qu’il a faim.
-          Comment Rahma a-t-elle perdu sa fille ?
   elle a perdu sa fille en se rendant au baptême de sa sœur khadija dans le quartier el kalquyine .
-          Qu’est-ce que Rahma organise pour remercier Dieu d’avoir retrouvé sa fille ?
 Rahma organise un festin pour les pauvres pour remercier Dieu après avoir trouvé sa fille.
-          Quel est le recours de Sidi Mohammed aux moments de solitude ?
 Dans ses moments de solitude, Sidi Mohammed sort sa boîte à merveilles et déballe ses différents objets.
-          Est-ce que la boîte à merveilles a-t-elle toujours un effet sur le narrateur ?
 La boîte à merveilles ne ravit pas toujours Sidi Mohammed. Parfois, ses objets ne stimulent pas l’imagination du narrateur.

                                                           Chapitre_4

-          Chez qui le narrateur et sa mère sont-ils invités les premiers jours du printemps ?
Dans les premiers jours du printemps le narrateur et sa mère sont invités chez Lalla Aicha.
-          Dans quel chapitre a-t-on parlé de Lalla Aicha et qui est-elle ?
Le narrateur a parlé de Lalla Aicha dans le deuxième chapitre. C’était une relation qui flattait l’orgueil de sa mère puisque Lalla Aicha était une chérifa. C’est aussi une ancienne voisine et l’amie de Lalla Zoubida.
-          Montrez que Lalla Aicha se joue de ses voisines.
 Lalla Aicha sait que les voisines épient ses dires, c’est pourquoi elle ne manque pas de les flatter hautement avant de chuchoter à l’oreille de son invitée sa véritable pensée.
-          En quoi consiste le jeu du narrateur et les enfants de la maison ?
Le narrateur et les enfants jouent à recevoir des invités et à la mariée.
-          Par quoi finit le jeu des enfants ?  
Le jeu finit par une bataille et les hurlements.
-          Quel est le procédé narratif utilisé dans le passage « ma mère racontait……la dispute. »?
Le procédé narratif utilisé c’est le sommaire.
-          Quel type de portrait fait la mère des voisines ?
La mère fait des portrait valorisante de Rahma, sa voisine du premier étage, Fatma Bziouya, sa voisine d’en face et tante Kanza la chouafa.
-          Qu’est-ce qui montre que l’arrivée de My Larbi n’est pas attendue ?
Ce qui montre que son arrivée n’est pas attendue c’est l’usage de l’adverbe ‘’’inopinément’’. (Une chose qui arrive sans qu’on ne s’y attende pas)
-          Après le déjeuner de vendredi, que fait Lalla Zoubida?
Après le déjeuner du vendredi, Lalla Zoubida raconte les problèmes de My Larbi avec un certain Abdelkader.
-          Que fait le narrateur à propos du récit de son père concernant l’épicier Abdellah ?
le narrateur rapporte le récit de son père d’où l’usage des guillemets et il devient ainsi un narrateur relais (2ème narrateur).
-          Que fait le père dans son récit de l’histoire d’Abdellah ?
le père commente plutôt qu’il raconte les histoires d’Abdellah.
-          Qui est l’épicier Abdellah  ?  Abdellah tient un fonds de commerce consistant en deux grappes de balais de palmier nain, une douzaine de couffins, un paquet de ficelles et quelques boîtes qu’on suppose remplis d’épices.
-          Quelle est la caractéristique principale de ce personnage ? argumentez.  La caractéristique de ce personnage c’est qu’il est mystérieux et insaisissable puisque les points de vue le concernant sont contradictoires.
-          Quelle est la caractéristique du récit dans ce chapitre ?  la caractéristique du récit dans ce chapitre c’est l’emboîtement.
-          Relevez l’emboîtement du récit dans ce chapitre.  L’emboîtement dans ce chapitre est comme suit :


Le père du narrateur raconte à son épouse et à son fils les histoires de l’épicier Abdellah.

La mère du narrateur raconte la dispute de Moulay Larbi avec son associer Abdelkader

Le narrateur premier raconte les préparatifs de la visite à Lalla Aicha.
                                                                                           1                                                                                                                                  
                                                                                                                  
                                                                                                                                                                  2                                                                                                                 
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                        3


                                                         Chapitre_5

-          Quelle est la cause de l’absence de la mère du narrateur ?   
 La mère s’est absentée pour assister Lalla Aicha qui vient la chercher.
-          Que fait la mère du narrateur en rentrant à la maison ?
Elle donne à manger à son fils et se presse pour raconter les malheurs de Lalla Aicha à Fatma Bziouya et Rahma.



-          En quoi consistent les malheurs de Lalla Aicha ?
 Lalla Aicha a tout vendu, meubles et bijoux pour acheter le matériel nécessaire à l’installation du nouvel atelier de son mari My Larbi.
-          Par quoi la mort de sidi Mohammed Ben Taher est-elle annoncée ?
La mort de Sidi Mohammed Ben Taher a été annoncée par des hurlements, des pleurs et des vociférations.
-          Relevez le cérémonial funèbre de Sidi Mohammed Ben Taher. 
A la mort de Sidi Mohammed Ben Taher, les pleurs vociféraient les lamentations, adressaient des prières à Dieu, invoquaient les saints. Loin des femmes, les psalmistes récitaient quant à eux des chapitres du Coran. Après les ablutions rituelles, le cadavre fut vêtu de blanc et emporté par les hommes sur une civière pour être enfin enfoui dans une terre humide.
-          D’après le texte est-ce que les cortèges d’enterrement se ressemblent ?
Non, ils ne se ressemblent pas ; il y a des morts qui sont accompagnés d’une foule nombreuse et des morts sans personne pour les accompagner à leur dernière demeure.
-          Comment le père lui explique-t-il le cas des morts solitaires ?
  Il lui explique les morts solitaires par l’histoire de l’homme pieux qui tenait une boutique dans un souk.
-          Dans le délire du narrateur en quoi sa boîte à merveilles se métamorphose-t-elle ?
Dans le délire du narrateur sa boîte se transforme en un cercueil qui l’emporte dans des palais d’émeraude.
-          Par quoi le narrateur meuble-t-il sa journée de repos après son accès de fièvre ?
 Il meuble sa journée en écoutant les bruits de la maison.
-          Relevez les bruits de la maison.
 Les bruits de la maison sont : soufflets, des explosions d’étincelles, des phrases chuchotées, le récolement d’un pigeon, le martèlement à la porte, le chant du moudden, le choc du bourdon contre le verre de la lampe.
-          Quel est l’objet qui s’ajoute à la boîte à merveilles du narrateur ? Par qui est-il offert ?
 Le nouvel objet qui s’ajoute aux merveilles de Sidi Mohammed c’est une chaînette de cuivre rangée de vert-de-gris et elle est offerte par la mère du narrateur.
-          Comment le narrateur transforme-t-il la chainette en cuivre en or pur ?
  Il la transforme en or pur en la frottant avec le sable et en la rinçant.
-          Qu’arrive-t-il à la chaîne du narrateur ?
 Il a mis la chaînette sur le cou du chat de Zineb, ce dernier n’arrive pas à l’enlever alors il part avec elle.
-          Par quoi finit la mésaventure du narrateur avec le chat de Zineb ?
 Elle finit par une dispute violente entre le narrateur et Zineb. Le narrateur a accusé Zineb d’être à l’origine de la disparition de sa chaîne.

                                                               Chapitre_6

-          Que se passe-t-il au msid à l’occasion d’Achoura ?
 À l’occasion d’achoura, le Fqih collecte les dons pour renouveler les nattes. Il forme des équipes pour blanchir les murs et nettoyer le sol.
-          Quel rôle joue le narrateur dans le nettoyage du Msid ?
  Le narrateur est nommé chef des frotteurs et fonctions. Cela le remplit de fierté.
-          Pourquoi le narrateur accompagne-t-il sa mère à la kissaria ?
 Il accompagne sa mère à la kissaria pour acheter les habits d’achoura.


-          Pourquoi le narrateur est-il réprimandé avant de sortir à la kissaria ?
  Il est réprimandé parce qu’il n’a pas entendu les appels de sa mère alors qu’il exprime sa joie sur la terrasse.
-          Quels sont les objets achetés par la mère du narrateur à la kissaria ?
 Les objets achetés par la mère sont : trois coudés de cotonnade blanche de la « marque poisson » et un gilet rouge à soutaches.
-          A quoi se compare le narrateur le jour d’Achoura habillé avec son gilet rouge ?
 Il se compare à un prince de légende.
-          Quelle histoire raconte Rahma dans ce chapitre ? Rahma raconte l’histoire de l’oncle Othmane que la vieille M’barka lui a racontée.


                                                             Chapitre_7

-          Qu’est-ce que les femmes ont acheté pour achoura ?
  Pour achoura, les femmes ont acheté les tambours et les bendirs.
-          Pourquoi Hammoussa vient-il interrompre le récital à la trompette du narrateur ?
  Hammoussa vient interrompre le jeu à la trompette du narrateur parce que le Fqih le réclame au Msid.
-          Quelle récompense Lalla Kanza a-t-elle donné au narrateur pour lui avoir apporté un brin de menthe ?
   Elle lui donne une poignée de grain de sésame.
-          Où le père du narrateur comptait-il l’emmener le lendemain ?
  Il comptait l’emmener au souk pour choisir des jouets, acheter un cierge et se couper les cheveux.
-          Qu’arrive-t-il à Sidi Mohammed alors que le coiffeur le rasait ?
  Il s’endormit puis réveillé, il a mal au cœur.
-          Que fait Sidi Mohammed pour enrager Zineb et la rendre jalouse ?
  Il s’équipe d’homme-orchestre pour exhiber tous ses jouets et joue à une composition à crever le tympan.
-          Par quoi finit le concert donné par le narrateur et les enfants des maisons mitoyennes ?
 il finit par un bain dans une eau bouillante.
-          Montrez comment le sentiment de supériorité de Sidi Mohammed dans ses habits neufs est démenti par quelques désagréments.
Bien que tout ce que portait Sidi Mohammed était neuf, rien n’était à sa taille. Ils étaient tous d’une taille plus large.
-          Relevez les éléments du merveilleux dans le msid le jour d’achoura.
Le jour d’achoura, la façade habituellement triste, avait un décor de féerie et à l’intérieur, les condisciples étaient tous richement habillés.
-          Par quoi se termine la célébration d’achoura au Msid ?  la célébration d’achoura se termine par une longue invocation et par un congé de quatre jours.
-          Quel a été le programme prévu le jour d’achoura ?
  Le matin, sidi Mohammed doit accompagner son père à My Driss pour la prière, et après le déjeuner, le narrateur devait accompagner sa mère chez son amie Lalla Aicha.
-          Quel imprévu change le programme prévu l’après-midi d’achoura ?
 L’imprévu qui a changé le programme c’est l’arrivée de Lalla Aicha.
-          Quel vœu avait Sid Mohammed l’après-midi de l’achoura ? a-t-il été exhaussé ?
 Le vœu de Sidi Mohammed est de jouer au tambour et il fut exhaussé puisque sa mère lui permet d’aller sur la terrasse afin de se ménager tête à tête avec Lalla Aicha.

                                                         Chapitre_8

-          Avec l’arrivée de la chaleur, où le msid fut-il déménagé ? il est déménagé dans le mausolée à deux pas plus loin et où il faisait froid.
-          Quel changement opère le mausolée sur Sid Mohammed ?
  sa santé physique s’améliorait et sa mémoire devint excellente.
-          Qu’est-ce qui justifie l’ardeur de Sidi Mohammed dans son travail ?
  Son ardeur dans le travail est justifiée par les deux heures de rêves qu’il s’octroyait l’après-midi.
-          Que va-t-il arriver dans le souk des bijoux ?  
Le père et un courtier ont une dispute à cause de l’achat des bracelets.
-          Qu’est-il arrivé quand le père fut rentré ? Est-ce que la mère est contente d’avoir acheté les bracelets ? pourquoi ?
  En rentrant, le père rapporte les deux bracelets, mais la mère n’est pas contente et elle ne voulait pas les porter en croyant qu’ils apporteront le malheur dans la maison.
-          Quels sont les malheurs de Lalla Aicha ?
 Lalla Aicha se rendait chez la mère du narrateur et lui révélait que son mari My Larbi l’avait abandonné et qu’il allait se marier avec une jeune fille (la fille du coiffeur) .
-          Qu’arrive-t-il à Sidi Mohammed ?  
Sidi Mohammed, touché par les pleurs de sa mère et de LallaAicha, vomit sur ses couvertures.

                                                                         Chapitre_9

-          Montrez comment les prédictions de la mère se réalisent. Le malheur touche la maison de Lalla Zoubida puisque le père a perdu tout son argent dans la cohue. il veut changer la marchandise et en allant l’acheter, il perd tout son fond.
-          Que compte faire le père du narrateur pour régler ses problèmes d’argent ?
 Il décide de voyager et de travailler comme moissonneur aux environs de Fès ; il doit s’absenter pendant un mois.
-          Montrez comment la famille est régie par la figure du père.
Le père représente la protection ; sa seule présence assure le respect.
-          En quoi se transforme la boîte à merveilles du narrateur ?
 Elle se transforme en un cercueil où gisaient les rêves de Sidi Mohammed.
-          Pourquoi l’imagination de Sidi Mohammed s’est-elle tarie ?
 Son imagination s’est tarie parce qu’il est attristé par le départ de son père.
-          Que représente la nuit pour Sidi Mohammed ?
  La nuit représente pour le narrateur un temps et un espace qui lui permettent de s’évader de ses contraintes et de prendre parfois sa revanche.
-          Pourquoi Lalla Zoubida rend-t-elle visite avec son fils à Lalla Aicha ?
Elle se rend avec son fils chez Lalla Aicha parce que cette dernière doit l’accompagner chez un voyant Sid El Arrafi qui prévoit l’avenir.

                                                                                   Chapitre_10

-          Montrez que la visite de Sidi El Arafi pour le narrateur est une nouvelle naissance.  
C’est une nouvelle naissance pour lui parce que le monde s’offrait à son regard dans sa propreté originelle.



-          Est-ce que la mère du narrateur raconte sa visite à Sidi El Arafi ?
  Non, elle ne parle pas de sa visite à Sid El Arafi. Elle prédit qu’elle est allée faire un pèlerinage aux sanctuaires de la ville.
-          Qu’est-ce que le messager de Maalem Abdeslem apporte à Lalla Zoubida ?
 Le messager de Maalem Abdeslem apporte à Lalla Zoubida : une douzaine d’œufs un pot de terre plein de beurre et une bouteille d’huile d’un brun sombre.
-          Que demande Lalla Aicha à Lalla Zoubida ?
 Elle lui demande de lui rendre visite le lendemain afin qu’elle lui raconte des nouveaux à propos du mariage de son mari My Larbi.

                                                                     Chapitre_11 et_12

-          D’après Salama pourquoi My Larbi veut-il se marier ?
 Il voulait se marier parce qu’il veut avoir des enfants et il croit qu’il gagne assez pour ouvrir deux foyers.
-          Est-ce que le mariage de My Larbi est un mariage heureux ?
 Non, il n’est pas heureux parce que sa femme multipliait ses exigences.
-          Que raconte Zhor à propos du mariage de My Larbi avec la fille du coiffeur ?
 Elle raconte l’incident qui s’est passé chez My Larbi : la fille du coiffeur casse tout en menaçant de se suicider. Elle ne veut pas le foulard que ce dernier lui a acheté. En plus elle est paresseuse ; les provisions doivent attendre le soir pour être cuites.
-          Comment est décrit le jour du retour du père ?  
il est décrit comme le jour de fête.
-          Quelle nouvelle apporte Zineb à Lalla Zoubida ?
 Zineb annonce le retour de Maalem Abdeslem.
-          Qu’apprend Driss el Aouad à Maalem Abdeslem à son retour ?
 Driss El Aouad apprend à Maalem Abdeslem le divorce de My Larbi avec la fille du coiffeur.
-          Quel est l’avis de Maalem Abdeslem de la polygamie (se marier avec plusieurs femmes) ?
 Il n’est pas d’accord avec le mariage avec plusieurs femmes ; il trouve déjà difficile de mener une seule femme
-          D’après le texte à quel âge l’auteur a-t-il écrit son roman ?  l’auteur écrit son roman à l’âge de trente-sept ans.




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