Mourabit Mohammed
LA
BOÏTE A MERVEILLES de_ Ahmed SEFRIOUI
Titre de l’œuvre
|
L’auteur de l’œuvre
|
Le genre littéraire
|
La date de publication
|
Le siècle ou l’époque
|
Le personnage principal
|
La Boîte à Merveilles
|
Ahmed Sefrioui
|
Roman autobiographique
|
En 1954
|
XXème siècle (20ème siècle)
|
Sidi Mohammed
|
La
biographie de l’auteur :
Ahmed Sefrioui est un écrivain marocain d’expression française né en 1915 à
Fès. Il a fréquenté l’école coranique, puis l’école française et ensuite le
collège de Moulay Driss. Parmi ses écrits : Le chapelet d’ambre
/ La Boîte à Merveilles / Le jardin des sortilèges./ La maison
de servitude.
C'est Ahmed
Sefrioui, un écrivain marocain d'expression française. Il est né à Fès en 1915
de parents berbères. Il est mort en 2004. « La boîte à merveilles» est son
roman autobiographique dans lequel il retrace le parcours d'une vie simple d'un
enfant né dans la médina de Fès.
Questions
+ Réponses sur l’ensemble de l’œuvre
-De
quel genre de récit s’agit-t-il ? Justifiez votre réponse. Il
s’agit d’un récit autobiographique. Le « je » pronom de
l’autobiographie / « Sidi Mohammed » avec une légère modification est
l’auteur du roman).
-D’après
votre lecture de l’œuvre :
a-Pour
quelle raison le père quitte-t-il sa maison ? Le
père quitte sa maison pour aller travailler comme ouvrier agricole aux environs
de Fès. Et parce qu’il a fait faillite.
b-
Quel genre de travail compte-t-il faire ? Il
compte travailler comme moissonneur.
-
Qui est
l’auteur de La Boîte à Merveilles ?
l’auteur de La Boîte à Merveilles c’est Ahmed Sefrioui.
-
Quel est le
pronom employé par le narrateur ?
pourquoi ce pronom ? Il a employé le pronom « je »
parce que ce récit est un roman autobiographique.
-
Est-ce que le
narrateur « Sidi Mohammed » aimait aller au bain maure dans La Boîte
à Merveilles ? Non, il n’aime pas aller au bain maure.
-
Quelle était
l’occupation favorite du narrateur dans La Boîte à Merveilles ?
Il aimait jouer avec sa boîte à merveilles.
-
Que contenait
la boîte à merveilles du narrateur ? la
boîte contenait des objets hétéroclites comme des clous, des boules de
verre…etc.
-
Pourquoi
l’auteur a employé les mots empruntés en arabe ?
Il a employé des mots empruntés de l’arabe pour ancrer l’histoire dans son
contexte marocain.
-
D’après votre
lecture de l’œuvre, quel métier exerce chacun de ces personnages :
Abdellah et Lalla Kanza ?
Abdellah c’est
l’épicier et Lalla Kanza c’est une voyante (chouafa)
-
A votre avis, le
narrateur a-t-il gardé un bon souvenir du bain maure ?
le narrateur garde un mauvais souvenir du bain maure parce qu’il n’aime pas ce
lieu même à l’âge adulte.
-
a) « je
ne veux pas aller en enfer. »
b) « Dès
notre arrivée nous grimpâmes sur une vaste estrade couverte de nattes. » -
précisez le mode d’énonciation (le mode énonciatif) utilisé dans chacun des
énoncés ci-dessus.
a) le
mode d’énonciation c’est le présent de l’énonciation (1ère personne
du singulier) parce que c’est le discours.
b) le
mode d’énonciation c’est le passé simple (1ère personne du pluriel)
parce que c’est le récit.
-
Pendant
l’absence du père, le petit garçon et sa mère avaient tous les moyens pour
vivre aisément. Vrai ou faux ? c’est
faux parce que le père a laissé, à sa femme, seulement l’argent des bracelets
qu’il a vendus pour soigner le petit qui est malade.
-
le narrateur
a-t-il des frères et des sœurs ? il n’a ni
frère ni sœur. Il est l’unique enfant de ses parents.
-
Le narrateur
dans « La boîte à merveilles » rejette les jeux des autres car :
a)il n’aime pas jouer
b) il préfère rester avec sa famille
c)il a son monde imaginaire (vrai)
-
Le narrateur
Sidi Mohammed est différent des enfants de son âge. Par quoi est-il
différent ? il est différent par son penchant pour le rêve, l’invisible, le
monde merveilleux alors que les autres bambins de son âge se contentent de tout
ce qui est concret.
-
« Moi je
ne voulais rien imiter, je voulais connaître » dans
cette phrase le verbe ‘’’connaître’’a-t-il pour sens :
a)faire connaissance ?
b) inventer ?
c) savoir ? (vrai)
-
Quel est le
prénom du père du narrateur ? le prénom du
père du narrateur c’est Abdeslem
-
Quel est le
prénom de la mère du narrateur ? son
prénom c’est Lalla Zoubida.
-
Quel est le
prénom de la voyante ? le prénom de la voyante c’est Lalla Kanza.
-
Quels sont les
voisins du narrateur ? les voisins du narrateur sont : la voyante Lalla Kanza
au rez-de-chaussée / Rahma et Driss el Aouad ainsi que leur fille Zineb au
premier étage / Fatma Bziouya qui partage avec la famille du
narrateur le deuxième étage.
-
Qui est Lalla
Aicha ? c’est une ancienne voisine de la famille du narrateur et
amie de Lalla Zoubida.
-
Quel est le
métier du père du narrateur ? le métier du père du
narrateur c’est un tisserand.
-
Il a voyagé aux
environs de Fès. Que compte faire le père du narrateur ? il
veut travailler comme moissonneur.
-
Est-ce qu’il a amassé
de l’argent ? oui, il a amassé l’argent pour rouvrir son atelier.
-
Comment on a
considéré le jour du retour du père du narrateur des environs de Fès ?
ce jour-là a été considéré comme un jour de fête ; tout le monde est
content même les voisins qui viennent souhaiter la bienvenue à Maalem Abdeslem.
Le résumé de La Boîte à Merveilles, d’Ahmed Sefrioui.
*L'auteur-narrateur-personnage (Sidi Mohamed) raconte son enfance
en commençant son récit à l'âge de six ans. Il décrit son état de solitude et
cite les différents locataires de Dar chouafa ( tanta Kenza) comme Driss El
Aouad ( le fabricant des charrues), sa femme Rahma et leur fille Zineb, Fatma
Bziouya ( la femme d'un jardinier et voisine de la famille du narrateur en
deuxième étage). Il parle aussi du Msid et de sa timide amitié avec quelques
camarades de l'école coranique et relate que ses véritables amis sont les
objets et les personnages imaginaires de sa boite à merveilles. Ensuite, il
parle de sa mère ( Lalla Zoubida) qui l'emmena au bain maure (hammam) endroit
dans lequel le narrateur sentait "l'odeur du péché". Après les dures
scènes du hammam, cette dernière revient raconter tout en détails à ses
voisines et à son mari le lendemain. Ce chapitre se termine par une forte
discussion entre la mère de sidi Mohamed et leur voisine Rahma qui a eu l'idée
de faire la lessive le même jour que la mère du narrateur, ce qui a engendré
l'évanouissement du narrateur.
*Le narrateur commence ce chapitre en racontant qu'après une journée dure au Msid, il rentre à la maison et trouve sa mère souffrant d'une terrible migraine. Ainsi, après le déjeuner, la famille reçoit une visite improvisée de Lalla Aîcha (ancienne voisine de lalla Zoubida). Cette dernière réussit à la convaincre de faire une visite à Sidi Ali Boughaleb pour guérir elle et son fils. Après toutes les complications pour réaliser le voyage, le narrateur, une fois à la zaouia, se fait griffer par un chat. Cela précipite le retour à la maison. Bénéficiant d'un congé, le narrateur assiste à la scène de l'habillage du père et reçoit un cabochon en verre à facette de Rahma pour sa boite à merveilles.
*Après une description de l'ambiance de l'école coranique, le narrateur rentre à la maison et il trouve que la chambre de Fatma Bziouya brillait d'un éclat inaccoutumé. Quand sa mère a vu que sa voisine avait une lampe à pétrole pour s'éclairer, elle finit par convaincre le père d'acheter une lampe pour eux aussi. Le lendemain matin, Rahma , qui était sortie pour assister à un baptême , revient en pleurant car elle avait perdu sa fille Zineb dans la foule…Après avoir trouvé la fille , Rahma organise un repas pour les pauvres pour remercier Dieu.
*Pendant les premiers jours du printemps, lalla Zoubida et le narrateur étaient invités à la maison de Lalla Aîcha qui habitait Zankat Hajjama. La femme qui était épiée par ses voisines, les loua à haute voix et chuchota à l'oreille de Lalla Zoubida sa véritable pensée. Sidi Mohamed jouait avec les enfants de la maison, et Lalla Aîcha et sa mère parlaient de Rahma. Le mari de Lalla Aicha ( Moulay Larbi Alaoui) rentre soudainement à la maison et demande à parler avec sa femme en privé, cette dernière raconta ensuite à Lalla Zoubida les problèmes de son mari avec son associé Abdelkader. La mère du narrateur raconte ces problèmes à son mari.
*Un mercredi, le Fquih, de bonne humeur, expliqua ses projets pour l'Achoura Quand le narrateur revient du Msid à la maison, il trouve sa mère en visite à Lalla Aicha, de retour, elle raconta les malheurs de cette dernière à Fatma puis à Rahma. Ensuite des cris annoncent la mort de Sidi Mohamed Ben Tahar (le coiffeur)…Le chapitre finit par une mésaventure du narrateur provoquée par le chat de Zineb qui lui a volé la chaîne de vert-de-gris offerte par sa mère.
*Les préparatifs pour l'Achoura commencent au Msid, le Fquih distribua les travaux par groupe. Le narrateur était fier d'être le chef des frotteurs. Le lendemain matin, il accompagna sa mère au Kissaria pour acheter un gilet. A son retour, il mène une dispute avec Zineb sans raison. Ensuite, le narrateur avait faim et commençait à rêver d'être un prince qui offre des repas aux mendiants. Après un moment, on écoute Rahma qui raconte L'histoire d'un couple (Khadija marié au vieux Othman.).
*La veille de l'Achoura, les femmes s'achètent des bendirs et des tambours. Le père du narrateur lui offre une trompette. Au Msid, il participa à l'équipement des lustres pour la nuit de L'Achoura. Le lendemain, le père de Sidi Mohamed l'emmène au coiffeur …Le jour de L'Achoura, le narrateur mit des vêtements neufs et alla au Msid pour les célébrations…Chez lui et après le repas de fête, sa famille reçoit une visite surprise de Lalla Aicha.
*Avec l'arrivée de la chaleur, les mouches envahissent la maison. Le Msid fut déménagé dans un petit sanctuaire. Un lundi, le père du narrateur rentre tôt à la maison pour accompagner sa femme au Souk des bijoux pour lui acheter des bracelets soleil et lune. Une fois au Souk, le père du narrateur entre dans une dispute avec un dellal malhonnête, ce qui provoqua sa perte dans la foule. La famille rentre donc à la maison pour attendre et pleurer. Plus tard, le père rentre avec les bracelets que sa femme refuse de prendre après les événements vécus à cause de ces bijoux. Après ces malheurs, le narrateur devint véritablement malade.
*Sidi Mohamed recevait des soins de sa mère pour guérir de sa fièvre. Le père de ce dernier annonce à sa femme qu'il avait perdu son capital pendant les enchères aux haiks. Ils ont décidé de vendre les bracelets. Ensuite le père prend la décision d'aller travailler aux environs de Fès pour résoudre ce problème. En partant, il laisse l'argent des bracelets à sa famille qui va vivre dans la solitude pendant l'absence du père. Pour accélérer la guérison du narrateur, Fatma lui apporte un genre de médicament à base de colle de farine "tadeffi". Ensuite la mère et son fils se rendent à la maison de Lalla Aicha pour rendre visite à un Fquih appelé Sidi El Arafi au quartier Seffah.
*Le narrateur sa mère et son amie Lalla Aicha arrivent chez le fquih. Ce dernier commence à présenter les prédictions voilées de ses visiteurs. Cette visite au voyant est restée cachée aux voisines de Lalla Zoubida qui leur a dit qu'elle était allée aux sanctuaires de la ville. Elle annonce à son fils qu'elle a décidé de le garder à la maison et de l'emmener chaque semaine prier sous la coupole d'un saint…Un matin elle reçoit la visite d'un envoyé de son mari qui lui apporta quelque nourriture.
*Après une invitation de la part de Lalla Aicha, le narrateur et sa mère se rendent chez elle. Lorsque les deux femmes étaient en train de converser, Salama (la marieuse) rend visite à Lalla Aicha et lui parle de son rôle dans le remariage de Moulay Laarbi avec la fille du coiffeur et les échecs de cette union. Zhor (la voisine de Lalla Aicha) arrive et apporte de nouveaux renseignements sur le mariage de ce couple. Cette scène se termine par un incident de la part du narrateur qui a renversé son verre de thé.
* Le dernier jour de cette histoire était plein de joie depuis ses premières heures du matin. Allal El Yacoubi (envoyé du père du narrateur), vient pour s'assurer de l'état de Sidi Mohamed. Soudain, Zineb vient annoncer qu'elle a vu Maalem Abdeslem près de la mosquée. Plus tard ce dernier rentra chez lui chargé de deux poulets et de la nourriture. Pendant que le narrateur parle avec son père, Driss El Aouad vint visiter le père et entre dans une longue conversation avec lui. Cette scène ennuya le narrateur et le poussa à se laisser emporter par le sommeil avec sa boite à merveilles à la main.
*Le narrateur commence ce chapitre en racontant qu'après une journée dure au Msid, il rentre à la maison et trouve sa mère souffrant d'une terrible migraine. Ainsi, après le déjeuner, la famille reçoit une visite improvisée de Lalla Aîcha (ancienne voisine de lalla Zoubida). Cette dernière réussit à la convaincre de faire une visite à Sidi Ali Boughaleb pour guérir elle et son fils. Après toutes les complications pour réaliser le voyage, le narrateur, une fois à la zaouia, se fait griffer par un chat. Cela précipite le retour à la maison. Bénéficiant d'un congé, le narrateur assiste à la scène de l'habillage du père et reçoit un cabochon en verre à facette de Rahma pour sa boite à merveilles.
*Après une description de l'ambiance de l'école coranique, le narrateur rentre à la maison et il trouve que la chambre de Fatma Bziouya brillait d'un éclat inaccoutumé. Quand sa mère a vu que sa voisine avait une lampe à pétrole pour s'éclairer, elle finit par convaincre le père d'acheter une lampe pour eux aussi. Le lendemain matin, Rahma , qui était sortie pour assister à un baptême , revient en pleurant car elle avait perdu sa fille Zineb dans la foule…Après avoir trouvé la fille , Rahma organise un repas pour les pauvres pour remercier Dieu.
*Pendant les premiers jours du printemps, lalla Zoubida et le narrateur étaient invités à la maison de Lalla Aîcha qui habitait Zankat Hajjama. La femme qui était épiée par ses voisines, les loua à haute voix et chuchota à l'oreille de Lalla Zoubida sa véritable pensée. Sidi Mohamed jouait avec les enfants de la maison, et Lalla Aîcha et sa mère parlaient de Rahma. Le mari de Lalla Aicha ( Moulay Larbi Alaoui) rentre soudainement à la maison et demande à parler avec sa femme en privé, cette dernière raconta ensuite à Lalla Zoubida les problèmes de son mari avec son associé Abdelkader. La mère du narrateur raconte ces problèmes à son mari.
*Un mercredi, le Fquih, de bonne humeur, expliqua ses projets pour l'Achoura Quand le narrateur revient du Msid à la maison, il trouve sa mère en visite à Lalla Aicha, de retour, elle raconta les malheurs de cette dernière à Fatma puis à Rahma. Ensuite des cris annoncent la mort de Sidi Mohamed Ben Tahar (le coiffeur)…Le chapitre finit par une mésaventure du narrateur provoquée par le chat de Zineb qui lui a volé la chaîne de vert-de-gris offerte par sa mère.
*Les préparatifs pour l'Achoura commencent au Msid, le Fquih distribua les travaux par groupe. Le narrateur était fier d'être le chef des frotteurs. Le lendemain matin, il accompagna sa mère au Kissaria pour acheter un gilet. A son retour, il mène une dispute avec Zineb sans raison. Ensuite, le narrateur avait faim et commençait à rêver d'être un prince qui offre des repas aux mendiants. Après un moment, on écoute Rahma qui raconte L'histoire d'un couple (Khadija marié au vieux Othman.).
*La veille de l'Achoura, les femmes s'achètent des bendirs et des tambours. Le père du narrateur lui offre une trompette. Au Msid, il participa à l'équipement des lustres pour la nuit de L'Achoura. Le lendemain, le père de Sidi Mohamed l'emmène au coiffeur …Le jour de L'Achoura, le narrateur mit des vêtements neufs et alla au Msid pour les célébrations…Chez lui et après le repas de fête, sa famille reçoit une visite surprise de Lalla Aicha.
*Avec l'arrivée de la chaleur, les mouches envahissent la maison. Le Msid fut déménagé dans un petit sanctuaire. Un lundi, le père du narrateur rentre tôt à la maison pour accompagner sa femme au Souk des bijoux pour lui acheter des bracelets soleil et lune. Une fois au Souk, le père du narrateur entre dans une dispute avec un dellal malhonnête, ce qui provoqua sa perte dans la foule. La famille rentre donc à la maison pour attendre et pleurer. Plus tard, le père rentre avec les bracelets que sa femme refuse de prendre après les événements vécus à cause de ces bijoux. Après ces malheurs, le narrateur devint véritablement malade.
*Sidi Mohamed recevait des soins de sa mère pour guérir de sa fièvre. Le père de ce dernier annonce à sa femme qu'il avait perdu son capital pendant les enchères aux haiks. Ils ont décidé de vendre les bracelets. Ensuite le père prend la décision d'aller travailler aux environs de Fès pour résoudre ce problème. En partant, il laisse l'argent des bracelets à sa famille qui va vivre dans la solitude pendant l'absence du père. Pour accélérer la guérison du narrateur, Fatma lui apporte un genre de médicament à base de colle de farine "tadeffi". Ensuite la mère et son fils se rendent à la maison de Lalla Aicha pour rendre visite à un Fquih appelé Sidi El Arafi au quartier Seffah.
*Le narrateur sa mère et son amie Lalla Aicha arrivent chez le fquih. Ce dernier commence à présenter les prédictions voilées de ses visiteurs. Cette visite au voyant est restée cachée aux voisines de Lalla Zoubida qui leur a dit qu'elle était allée aux sanctuaires de la ville. Elle annonce à son fils qu'elle a décidé de le garder à la maison et de l'emmener chaque semaine prier sous la coupole d'un saint…Un matin elle reçoit la visite d'un envoyé de son mari qui lui apporta quelque nourriture.
*Après une invitation de la part de Lalla Aicha, le narrateur et sa mère se rendent chez elle. Lorsque les deux femmes étaient en train de converser, Salama (la marieuse) rend visite à Lalla Aicha et lui parle de son rôle dans le remariage de Moulay Laarbi avec la fille du coiffeur et les échecs de cette union. Zhor (la voisine de Lalla Aicha) arrive et apporte de nouveaux renseignements sur le mariage de ce couple. Cette scène se termine par un incident de la part du narrateur qui a renversé son verre de thé.
* Le dernier jour de cette histoire était plein de joie depuis ses premières heures du matin. Allal El Yacoubi (envoyé du père du narrateur), vient pour s'assurer de l'état de Sidi Mohamed. Soudain, Zineb vient annoncer qu'elle a vu Maalem Abdeslem près de la mosquée. Plus tard ce dernier rentra chez lui chargé de deux poulets et de la nourriture. Pendant que le narrateur parle avec son père, Driss El Aouad vint visiter le père et entre dans une longue conversation avec lui. Cette scène ennuya le narrateur et le poussa à se laisser emporter par le sommeil avec sa boite à merveilles à la main.
__________________________________________________________________________________
Questions
+ Réponses
Chapitre_1
-
Pourquoi le
narrateur ne dort- il pas ?
-
le narrateur ne
dort pas parce qu’il est écrasé par le poids de la solitude
-
Qu’est-ce qui
montre que le narrateur va faire un retour en arrière ?
-
Ce qui montre
que le narrateur va faire un retour en arrière c’est :« ma solitude
ne date pas d’hier… »
-
Donnez un
synonyme de « impasse » dans le deuxième paragraphe.
-
Le synonyme
c’est « ruelle »
-
Quel est
l’exemple qui montre que le narrateur était solitaire à l’âge de six ans ?
-
L’exemple qui
montre que le narrateur était solitaire à l’âge de six est le fait qu’il
voulait attraper un moineau « oiseau » pour en faire son compagnon.
-
Où habitait le
narrateur ?
-
Le narrateur
habitait au deuxième étage de dar chouafa. Une maison collective.
-
-
A quoi
réfère « nous » dans « nous habitions.. » ?
Le
« nous » réfère au narrateur et à sa famille.
-
La voyante du
rez-de-chaussée était adepte de quelle confrérie ?
La voyante du
rez-de-chaussée était adepte de la confrérie Gnaouas.
-
A quoi
s’adonner la voyante chaque moi ?
Chaque mois la
voyante s’adonnait à un rituel de musique et de danse nègre à travers des
nuages de Benjoin et de l’encens pour évoquer les Jnouns.
-
De combien
d’étages se compose dar chouafa ? donnez les locataires respectifs de
chaque étage.
-
Dar chouafa se
compose d’un rez-de-chaussée occupé par la voyante, au premier étage habitait
DrissEl Aouad, sa femme Rahma et leur fille âgée de sept ans (une seule
chambre). le deuxième étage était partagé
entre Fatma Bziouya et la famille du narrateur.
-
Qu’arrivait-elle
à la chouafa pendant la morte saison ?
Pendant la
morte saison la chouafa découvrait ses propres maux et s’occupe de sa santé.
-
A quoi le
narrateur assimile-t-il sa mémoire à l’âge de six ans ?
Il assimile (compare) sa mémoire à un album
qui l’aide à égayer sa solitude d’adulte.
-
Quelle est la
valeur du présent dans « le soir, il rentre le cœur gros et les yeux
rougis..… » ?
C’est un
présent de narration qui marque l’importance des souvenirs d’enfance dans la
vie d’adulte du narrateur.
-
Qu’est-ce qui
distinguait le narrateur des autres enfants de six ans ?
Les autres
enfants de six ans cherchaient à imiter alors que le narrateur voulait
connaître.
-
Où se trouve
l’école coranique du narrateur ?
L’école
coranique du narrateur se trouve à Derb Nouala.
-
Quel sentiment
éprouve le narrateur pour le bain maure ?
L’auteur
éprouve de la répulsion et y décèle (découvrir) une odeur de péché.
-
Relevez le
champ lexical du malaise du narrateur dans le bain maure.
Le champ
lexical du malaise du narrateur : rester bête / sentir seul / l’enfer / tremblant
de fièvre et de peur.
-
A quoi se
livrait le narrateur quand sa mère ne le portait pas au bain maure ?
L’auteur se
livrait à ses fantaisies en jouant dans le derb
ou en inventant les trésors de sa boîte à merveilles.
-
Comment le
narrateur considère-t-il les objets de sa boîte à merveilles ?
Le narrateur
considère les objets de sa boîte à merveilles comme des amis.
-
A quoi réfère
le narrateur quand il parle de « ses relations dans le monde de la
légende » ?
Le narrateur
réfère à ses amis imaginaires.
-
Quelles sont
les fonctions du bain ?
Le bain servait
à se purifier et à colporter (raconter) les potins et les commérages.
-
A quoi est dû
le succès de la mère du narrateur auprès de ses voisines ?
Le succès de la
mère du narrateur est dû à son talent de raconter les histoires et toutes les
choses vécues ou vues dans le bain maure.
-
Montrez que la
mère du narrateur a tendance à la dramatisation ?
La mère du
narrateur a tendance à la dramatisation parce qu’elle passe du rire le matin
aux pleurs le soir, et ne manquait pas de donner au moindre incident les
proportions d’une véritable catastrophe.
-
Dans quelle
ville vit le narrateur ? quelles sont les origines de sa famille ?
La famille du
narrateur vit à Fès et elle est d’origine montagnarde.
-
Est-ce que le
mari croit en l’innocence de sa femme ? justifiez à partir du texte ?
Non, le mari ne
croit pas en l’innocence de sa femme comme en témoigne la réplique
suivante : « avec qui t’es-tu encore
disputée ? »
-
Pourquoi le
narrateur s’évanouit-il ?
Le narrateur s’évanouit
parce qu’il ne pouvait plus supporter le bruit occasionné par la reprise de la
dispute entre sa mère et Rahma.
-
Quelle est
l’instance qui raconte dans le texte ? donnez sa valeur et montrez sa
relation avec le genre.
L’instance qui
raconte dans le texte est le « je » qui réfère à l’auteur, au
narrateur et au personnage principal. Cela valide le genre de l’œuvre qui est
un roman autobiographique.
Chapitre_2
-
A quoi était
consacré le matin au msid ?
le matin était
consacré aux révisions des chapitres du Coran appris depuis l’entrée au msid.
-
Qui est Lalla
Aicha ? et que conseille-t-elle à Lalla Zoubida ?
Lalla Aicha est
une chérifa et ancienne voisine. Elle a rendu visite à Lalla Zoubida et elle
lui a conseillé d’aller visiter Sidi Ali Boughaleb pour soulager ses maux de
tête et pour guérir le petit Sidi Mohammed des yeux des envieux.
-
Relevez le
portrait de Lalla Aicha.
Elle est plus
large que haute, la tête reposant sur le tronc ; des bras courts.
-
Une fois arrivé
à Sid Ali Boughaleb que se passe-t-il ?
Une fois arrivé
à sidi Boughaleb, la mère prit un peu d’eau en aspergea l’enfant en marmonnant
de vagues prières et arrivant devant le catafalque, lalla Aicha et lalla
Zoubida entrèrent dans un délire sacré.
-
Est-ce que les
vertus attribuées à Sidi Ali Boughaleb se concrétisent-ils ?
non ; les
vertus attribuées à sidi boughaleb ne se concrétisent pas puisque le narrateur
au lieu d’être guéri il y est griffé à sang par un gros matou ( chat)
-
quel est le
cérémonial des matinées à dar chouafa ?
le cérémonial à
dar chouafa chaque matin est le suivant : les habitants se réveillent
chacun à son rythme et échangent les salutations d’usage.
-
quelle
récompense reçoit Sidi Mohammed le lendemain de sa visite à sida Ali
boughaleb ?
il reçoit deux
beignets qui lui sont offerts par Fatma.
-
quelles sont
les origines de la famille du narrateur et quel est le métier de son
père ?
la famille du
narrateur est d’origine montagnarde et le métier de son père est tisserand.
-
Qui sont les
employés du père narrateur ?
les employés du
père du narrateur sont : un vieux qui aidait le père et Driss le teigneux
qui garnissait les canettes et faisait les commissions.
-
Qu’est-ce qui
montre que la famille du narrateur est assez aisée ?
ce qui montre
que la famille du narrateur est assez aisée sont les dépenses domestiques du
foyer qui étaient relativement importantes et aussi le fait que la famille
mangeait la viande trois à quatre fois par semaine.
-
Quel
cadeau a donné Rahma à Sidi Mohammed ?
Rahma a donné
un cabochon de verre à facette que le narrateur ajoute aux trésors de sa boîte
à merveilles.
Chapitre_3
-
Comment le narrateur
passe-t-il sa journée au msid ?
Le narrateur s’ennuie et attend l’heure de sortie avec impatience.
-
Quel signe annonçait
la fin de la journée au msid le vendredi ?
-
quand les
élèves commençaient quelques vers de Bnou achir et les prières pour implorer la
miséricorde de Dieu ; cela signifie le retour à la maison.
-
Pourquoi la
chambre de Fatma Bziouya brillait-elle d’un éclat inaccoutumé ?
elle brillait
d’un éclat inaccoutumé parce qu’elle avait acheté une lampe à pétrole.
-
Qu’est-il
arrivé à Rahma ?
Elle a perdu sa
fille zineb en se rendant au baptême de sa sœur khadija.
-
Montrez comment
le malheur efface les disputes et consolide les liens des habitants.
La mère de sidi
Mohammed oublie sa dispute et court pour soutenir sa voisine dans son malheur.
-
Montrez comment
la perte d’une jeune fille bascule du tragique au comique.
La perte de Zineb cause beaucoup de peine à
Rahma ; les voisines voulant partager le malheur de leur voisine chacune
pleure pour des raisons différentes et surtout le narrateur qui pleure parce
qu’il a faim.
-
Comment Rahma
a-t-elle perdu sa fille ?
elle a perdu sa fille en se rendant au
baptême de sa sœur khadija dans le quartier el kalquyine .
-
Qu’est-ce que
Rahma organise pour remercier Dieu d’avoir retrouvé sa fille ?
Rahma organise
un festin pour les pauvres pour remercier Dieu après avoir trouvé sa fille.
-
Quel est le
recours de Sidi Mohammed aux moments de solitude ?
Dans ses moments de solitude, Sidi Mohammed
sort sa boîte à merveilles et déballe ses différents objets.
-
Est-ce que la
boîte à merveilles a-t-elle toujours un effet sur le narrateur ?
La boîte à merveilles ne ravit pas toujours
Sidi Mohammed. Parfois, ses objets ne stimulent pas l’imagination du narrateur.
Chapitre_4
-
Chez qui le
narrateur et sa mère sont-ils invités les premiers jours du printemps ?
Dans les premiers jours du printemps le narrateur et sa mère sont
invités chez Lalla Aicha.
-
Dans quel
chapitre a-t-on parlé de Lalla Aicha et qui est-elle ?
Le narrateur a parlé de Lalla Aicha dans le deuxième chapitre. C’était
une relation qui flattait l’orgueil de sa mère puisque Lalla Aicha était une
chérifa. C’est aussi une ancienne voisine et l’amie de Lalla Zoubida.
-
Montrez que
Lalla Aicha se joue de ses voisines.
Lalla Aicha sait que les
voisines épient ses dires, c’est pourquoi elle ne manque pas de les flatter
hautement avant de chuchoter à l’oreille de son invitée sa véritable pensée.
-
En quoi
consiste le jeu du narrateur et les enfants de la maison ?
Le narrateur et les enfants jouent à recevoir des invités et à la
mariée.
-
Par quoi finit
le jeu des enfants ?
Le jeu finit par une bataille et les hurlements.
-
Quel est le
procédé narratif utilisé dans le passage « ma mère racontait……la
dispute. »?
Le procédé
narratif utilisé c’est le sommaire.
-
Quel type de
portrait fait la mère des voisines ?
La mère fait
des portrait valorisante de Rahma, sa voisine du premier étage, Fatma Bziouya,
sa voisine d’en face et tante Kanza la chouafa.
-
Qu’est-ce qui
montre que l’arrivée de My Larbi n’est pas attendue ?
Ce qui montre
que son arrivée n’est pas attendue c’est l’usage de l’adverbe ‘’’inopinément’’.
(Une chose qui arrive sans qu’on ne s’y attende pas)
-
Après le
déjeuner de vendredi, que fait Lalla Zoubida?
Après le
déjeuner du vendredi, Lalla Zoubida raconte les problèmes de My Larbi avec un
certain Abdelkader.
-
Que fait le
narrateur à propos du récit de son père concernant l’épicier Abdellah ?
le narrateur
rapporte le récit de son père d’où l’usage des guillemets et il devient ainsi
un narrateur relais (2ème narrateur).
-
Que fait le
père dans son récit de l’histoire d’Abdellah ?
le père
commente plutôt qu’il raconte les histoires d’Abdellah.
-
Qui est
l’épicier Abdellah ? Abdellah tient un fonds de commerce consistant
en deux grappes de balais de palmier nain, une douzaine de couffins, un paquet
de ficelles et quelques boîtes qu’on suppose remplis d’épices.
-
Quelle est la
caractéristique principale de ce personnage ? argumentez. La caractéristique de ce personnage c’est
qu’il est mystérieux et insaisissable puisque les points de vue le concernant
sont contradictoires.
-
Quelle est la
caractéristique du récit dans ce chapitre ? la caractéristique du récit dans ce chapitre
c’est l’emboîtement.
-
Relevez
l’emboîtement du récit dans ce chapitre. L’emboîtement dans ce chapitre est comme
suit :
Le père du
narrateur raconte à son épouse et à son fils les histoires de l’épicier
Abdellah.
3
|
Chapitre_5
-
Quelle est la
cause de l’absence de la mère du narrateur ?
La mère s’est absentée pour
assister Lalla Aicha qui vient la chercher.
-
Que fait la
mère du narrateur en rentrant à la maison ?
Elle donne à
manger à son fils et se presse pour raconter les malheurs de Lalla Aicha à
Fatma Bziouya et Rahma.
-
En quoi
consistent les malheurs de Lalla Aicha ?
Lalla Aicha a tout vendu, meubles et bijoux
pour acheter le matériel nécessaire à l’installation du nouvel atelier de son
mari My Larbi.
-
Par quoi la
mort de sidi Mohammed Ben Taher est-elle annoncée ?
La mort de Sidi
Mohammed Ben Taher a été annoncée par des hurlements, des pleurs et des
vociférations.
-
Relevez le
cérémonial funèbre de Sidi Mohammed Ben Taher.
A la mort de
Sidi Mohammed Ben Taher, les pleurs vociféraient les lamentations, adressaient
des prières à Dieu, invoquaient les saints. Loin des femmes, les psalmistes
récitaient quant à eux des chapitres du Coran. Après les ablutions rituelles,
le cadavre fut vêtu de blanc et emporté par les hommes sur une civière pour
être enfin enfoui dans une terre humide.
-
D’après le
texte est-ce que les cortèges d’enterrement se ressemblent ?
Non, ils ne se
ressemblent pas ; il y a des morts qui sont accompagnés d’une foule
nombreuse et des morts sans personne pour les accompagner à leur dernière
demeure.
-
Comment le père
lui explique-t-il le cas des morts solitaires ?
Il lui explique les morts solitaires par
l’histoire de l’homme pieux qui tenait une boutique dans un souk.
-
Dans le délire
du narrateur en quoi sa boîte à merveilles se métamorphose-t-elle ?
Dans le délire
du narrateur sa boîte se transforme en un cercueil qui l’emporte dans des
palais d’émeraude.
-
Par quoi le
narrateur meuble-t-il sa journée de repos après son accès de fièvre ?
Il meuble sa
journée en écoutant les bruits de la maison.
-
Relevez les
bruits de la maison.
Les bruits de
la maison sont : soufflets, des explosions d’étincelles, des phrases
chuchotées, le récolement d’un pigeon, le martèlement à la porte, le chant du
moudden, le choc du bourdon contre le verre de la lampe.
-
Quel est
l’objet qui s’ajoute à la boîte à merveilles du narrateur ? Par qui est-il
offert ?
Le nouvel objet
qui s’ajoute aux merveilles de Sidi Mohammed c’est une chaînette de cuivre
rangée de vert-de-gris et elle est offerte par la mère du narrateur.
-
Comment le
narrateur transforme-t-il la chainette en cuivre en or pur ?
Il la transforme en or pur en la frottant avec
le sable et en la rinçant.
-
Qu’arrive-t-il
à la chaîne du narrateur ?
Il a mis la
chaînette sur le cou du chat de Zineb, ce dernier n’arrive pas à l’enlever
alors il part avec elle.
-
Par quoi finit
la mésaventure du narrateur avec le chat de Zineb ?
Elle finit par
une dispute violente entre le narrateur et Zineb. Le narrateur a accusé Zineb
d’être à l’origine de la disparition de sa chaîne.
Chapitre_6
-
Que
se passe-t-il au msid à l’occasion d’Achoura ?
À l’occasion d’achoura,
le Fqih collecte les dons pour renouveler les nattes. Il forme des équipes pour
blanchir les murs et nettoyer le sol.
-
Quel rôle joue
le narrateur dans le nettoyage du Msid ?
Le narrateur est nommé chef des frotteurs et
fonctions. Cela le remplit de fierté.
-
Pourquoi le narrateur accompagne-t-il sa mère à la kissaria ?
Il accompagne sa mère à la kissaria pour acheter les
habits d’achoura.
-
Pourquoi le narrateur est-il réprimandé avant de sortir à la kissaria ?
Il est
réprimandé parce qu’il n’a pas entendu les appels de sa mère alors qu’il
exprime sa joie sur la terrasse.
-
Quels sont les objets achetés par la mère du narrateur à la
kissaria ?
Les objets achetés par la mère sont : trois
coudés de cotonnade blanche de la « marque poisson » et un gilet
rouge à soutaches.
-
A quoi se compare le narrateur le jour d’Achoura habillé avec son gilet
rouge ?
Il se compare à un prince de légende.
-
Quelle histoire raconte Rahma dans ce chapitre ? Rahma raconte l’histoire de l’oncle Othmane que la
vieille M’barka lui a racontée.
Chapitre_7
-
Qu’est-ce que
les femmes ont acheté pour achoura ?
Pour achoura,
les femmes ont acheté les tambours et les bendirs.
-
Pourquoi
Hammoussa vient-il interrompre le récital à la trompette du narrateur ?
Hammoussa vient interrompre le jeu à la
trompette du narrateur parce que le Fqih le réclame au Msid.
-
Quelle
récompense Lalla Kanza a-t-elle donné au narrateur pour lui avoir apporté un
brin de menthe ?
Elle lui donne une poignée de grain de sésame.
-
Où le père du
narrateur comptait-il l’emmener le lendemain ?
Il comptait l’emmener au souk pour choisir des
jouets, acheter un cierge et se couper les cheveux.
-
Qu’arrive-t-il
à Sidi Mohammed alors que le coiffeur le rasait ?
Il s’endormit puis réveillé, il a mal au cœur.
-
Que fait Sidi
Mohammed pour enrager Zineb et la rendre jalouse ?
Il s’équipe d’homme-orchestre
pour exhiber tous ses jouets et joue à une composition à crever le tympan.
-
Par quoi finit
le concert donné par le narrateur et les enfants des maisons mitoyennes ?
il finit par un
bain dans une eau bouillante.
-
Montrez comment
le sentiment de supériorité de Sidi Mohammed dans ses habits neufs est démenti
par quelques désagréments.
Bien que tout
ce que portait Sidi Mohammed était neuf, rien n’était à sa taille. Ils étaient
tous d’une taille plus large.
-
Relevez les éléments
du merveilleux dans le msid le jour d’achoura.
Le jour
d’achoura, la façade habituellement triste, avait un décor de féerie et à
l’intérieur, les condisciples étaient tous richement habillés.
-
Par quoi se
termine la célébration d’achoura au Msid ? la célébration d’achoura se termine par une
longue invocation et par un congé de quatre jours.
-
Quel a été le
programme prévu le jour d’achoura ?
Le matin, sidi Mohammed doit accompagner son
père à My Driss pour la prière, et après le déjeuner, le narrateur devait
accompagner sa mère chez son amie Lalla Aicha.
-
Quel imprévu
change le programme prévu l’après-midi d’achoura ?
L’imprévu qui a
changé le programme c’est l’arrivée de Lalla Aicha.
-
Quel vœu avait
Sid Mohammed l’après-midi de l’achoura ? a-t-il été
exhaussé ?
Le vœu de Sidi
Mohammed est de jouer au tambour et il fut exhaussé puisque sa mère lui permet
d’aller sur la terrasse afin de se ménager tête à tête avec Lalla Aicha.
Chapitre_8
-
Avec l’arrivée
de la chaleur, où le msid fut-il déménagé ? il est déménagé
dans le mausolée à deux pas plus loin et où il faisait froid.
-
Quel changement
opère le mausolée sur Sid Mohammed ?
sa santé physique s’améliorait et sa mémoire
devint excellente.
-
Qu’est-ce qui
justifie l’ardeur de Sidi Mohammed dans son travail ?
Son ardeur dans le travail est justifiée par
les deux heures de rêves qu’il s’octroyait l’après-midi.
-
Que va-t-il
arriver dans le souk des bijoux ?
Le père et un
courtier ont une dispute à cause de l’achat des bracelets.
-
Qu’est-il
arrivé quand le père fut rentré ? Est-ce que la mère est contente d’avoir
acheté les bracelets ? pourquoi ?
En rentrant, le père rapporte les deux
bracelets, mais la mère n’est pas contente et elle ne voulait pas les porter en
croyant qu’ils apporteront le malheur dans la maison.
-
Quels sont les
malheurs de Lalla Aicha ?
Lalla Aicha se
rendait chez la mère du narrateur et lui révélait que son mari My Larbi l’avait
abandonné et qu’il allait se marier avec une jeune fille (la fille du coiffeur) .
-
Qu’arrive-t-il
à Sidi Mohammed ?
Sidi Mohammed,
touché par les pleurs de sa mère et de LallaAicha, vomit sur ses couvertures.
Chapitre_9
-
Montrez comment les prédictions de la mère se réalisent. Le malheur touche la maison de Lalla Zoubida puisque
le père a perdu tout son argent dans la cohue. il veut changer la marchandise
et en allant l’acheter, il perd tout son fond.
-
Que compte faire le père du narrateur pour régler ses problèmes d’argent
?
Il décide de voyager et de travailler comme
moissonneur aux environs de Fès ; il doit s’absenter pendant un mois.
-
Montrez comment la famille est régie par la figure du père.
Le père représente la protection ; sa seule présence assure le
respect.
-
En quoi se transforme la boîte à merveilles du narrateur ?
Elle se transforme en un cercueil où gisaient les
rêves de Sidi Mohammed.
-
Pourquoi l’imagination de Sidi Mohammed s’est-elle tarie ?
Son imagination s’est tarie parce qu’il est attristé
par le départ de son père.
-
Que représente la nuit pour Sidi Mohammed ?
La nuit
représente pour le narrateur un temps et un espace qui lui permettent de
s’évader de ses contraintes et de prendre parfois sa revanche.
-
Pourquoi Lalla Zoubida rend-t-elle visite avec son fils à Lalla Aicha ?
Elle se rend avec son fils chez Lalla Aicha parce que cette dernière
doit l’accompagner chez un voyant Sid El Arrafi qui prévoit l’avenir.
Chapitre_10
-
Montrez que la visite de Sidi El Arafi pour le narrateur est une
nouvelle naissance.
C’est une nouvelle naissance pour lui parce que le monde s’offrait à son
regard dans sa propreté originelle.
-
Est-ce que la mère du narrateur raconte sa visite à Sidi El Arafi ?
Non, elle ne
parle pas de sa visite à Sid El Arafi. Elle prédit qu’elle est allée faire un
pèlerinage aux sanctuaires de la ville.
-
Qu’est-ce que le messager de Maalem Abdeslem apporte à Lalla Zoubida ?
Le messager de Maalem Abdeslem apporte à Lalla
Zoubida : une douzaine d’œufs un pot de terre plein de beurre et une
bouteille d’huile d’un brun sombre.
-
Que demande Lalla Aicha à Lalla Zoubida ?
Elle lui demande de lui rendre visite le lendemain
afin qu’elle lui raconte des nouveaux à propos du mariage de son mari My Larbi.
Chapitre_11
et_12
-
D’après Salama
pourquoi My Larbi veut-il se marier ?
Il voulait se
marier parce qu’il veut avoir des enfants et il croit qu’il gagne assez pour
ouvrir deux foyers.
-
Est-ce que le
mariage de My Larbi est un mariage heureux ?
Non, il n’est
pas heureux parce que sa femme multipliait ses exigences.
-
Que raconte
Zhor à propos du mariage de My Larbi avec la fille du coiffeur ?
Elle raconte
l’incident qui s’est passé chez My Larbi : la fille du coiffeur casse tout
en menaçant de se suicider. Elle ne veut pas le foulard que ce dernier lui a
acheté. En plus elle est paresseuse ; les provisions doivent attendre le
soir pour être cuites.
-
Comment est
décrit le jour du retour du père ?
il est décrit
comme le jour de fête.
-
Quelle nouvelle
apporte Zineb à Lalla Zoubida ?
Zineb annonce le retour de Maalem Abdeslem.
-
Qu’apprend
Driss el Aouad à Maalem Abdeslem à son retour ?
Driss El Aouad apprend à Maalem Abdeslem le
divorce de My Larbi avec la fille du coiffeur.
-
Quel est l’avis
de Maalem Abdeslem de la polygamie (se marier avec plusieurs femmes) ?
Il n’est pas
d’accord avec le mariage avec plusieurs femmes ; il trouve déjà difficile
de mener une seule femme
-
D’après le
texte à quel âge l’auteur a-t-il écrit son roman ? l’auteur écrit son roman à l’âge de trente-sept
ans.
je vous remercie pleinement de votre soutien.comment puis-je participer pour enrichir qlq points qui s'avèrent essentiels afin de généraliser le savoir et tirer profit des débats
RépondreSupprimeryoussefsaidisaidi@gmail.com
RépondreSupprimerMerci beaucoup pour vos efforts 💕
RépondreSupprimerMerci beaucoup pour vos efforts ♥️♥️
RépondreSupprimermerci bc
RépondreSupprimerFen a ayoup hh
SupprimerLe narrateur-enfant n’aimait pas le mardi car c’était :?
RépondreSupprimermeci
RépondreSupprimermerci bcp
RépondreSupprimermerci beaucoup pour vos efforts
RépondreSupprimer💝
Wayyeeeeeeh
RépondreSupprimerWa lah yn3al taboun mok
ta malk
Supprimer