EXERCICE N° 1 : Remplir les espaces vides

EXERCICE N° 2 : Choix multiple

EXERCICE N° 3 : Vidéo interactive

EXERCICE N° 4 : Vrai ou Faux

EXERCICE N° 5 / Glisser les mots

mardi 3 mai 2016

Mourabit Mohammed 


LA BOÏTE A MERVEILLES de_ Ahmed SEFRIOUI
Titre de l’œuvre
L’auteur de l’œuvre
Le genre littéraire
La date de publication
Le siècle ou l’époque
Le personnage principal
La Boîte à Merveilles
Ahmed Sefrioui
Roman autobiographique
En 1954
XXème siècle (20ème siècle)
Sidi Mohammed

 La biographie de l’auteur : Ahmed Sefrioui est un écrivain marocain d’expression française né en 1915 à Fès. Il a fréquenté l’école coranique, puis l’école française et ensuite le collège de Moulay Driss. Parmi ses écrits : Le chapelet d’ambre / La Boîte à Merveilles / Le jardin des sortilèges./ La maison de servitude.


C'est Ahmed Sefrioui, un écrivain marocain d'expression française. Il est né à Fès en 1915 de parents berbères. Il est mort en 2004. « La boîte à merveilles» est son roman autobiographique dans lequel il retrace le parcours d'une vie simple d'un enfant né dans la médina de Fès.

Questions + Réponses sur l’ensemble de l’œuvre

-De quel genre de récit s’agit-t-il ? Justifiez votre réponse. Il s’agit d’un récit autobiographique. Le « je » pronom de l’autobiographie / « Sidi Mohammed » avec une légère modification est l’auteur du roman).
-D’après votre lecture de l’œuvre :
a-Pour quelle raison le père quitte-t-il sa maison ? Le père quitte sa maison pour aller travailler comme ouvrier agricole aux environs de Fès. Et parce qu’il a fait faillite.
b- Quel genre de travail compte-t-il faire ? Il compte travailler comme moissonneur.
-          Qui est l’auteur de La Boîte à Merveilles ? l’auteur de La Boîte à Merveilles c’est Ahmed Sefrioui.
-          Quel est le pronom employé par le narrateur ? pourquoi ce pronom ? Il a employé le pronom  « je » parce que ce récit est un roman autobiographique.
-          Est-ce que le narrateur « Sidi Mohammed » aimait aller au bain maure dans La Boîte à Merveilles ? Non, il n’aime pas aller au bain maure.
-          Quelle était l’occupation favorite du narrateur dans La Boîte à Merveilles ? Il aimait jouer avec sa boîte à merveilles.
-          Que contenait la boîte à merveilles du narrateur ? la boîte contenait des objets hétéroclites comme des clous, des boules de verre…etc.
-          Pourquoi l’auteur a employé les mots empruntés en arabe ? Il a employé des mots empruntés de l’arabe pour ancrer l’histoire dans son contexte marocain.
-          D’après votre lecture de l’œuvre, quel métier exerce chacun de ces personnages : Abdellah et Lalla Kanza ?
Abdellah c’est l’épicier et Lalla Kanza c’est une voyante (chouafa)
-          A votre avis, le narrateur a-t-il gardé un bon souvenir du bain maure ? le narrateur garde un mauvais souvenir du bain maure parce qu’il n’aime pas ce lieu même à l’âge adulte.
-          a) « je ne veux pas aller en enfer. »
b) « Dès notre arrivée nous grimpâmes sur une vaste estrade couverte de nattes. » - précisez le mode d’énonciation (le mode énonciatif) utilisé dans chacun des énoncés ci-dessus.
a) le mode d’énonciation c’est le présent de l’énonciation (1ère personne du singulier) parce que c’est le discours.

b) le mode d’énonciation c’est le passé simple (1ère personne du pluriel) parce que c’est le récit.

-          Pendant l’absence du père, le petit garçon et sa mère avaient tous les moyens pour vivre aisément. Vrai ou faux ? c’est faux parce que le père a laissé, à sa femme, seulement l’argent des bracelets qu’il a vendus pour soigner le petit qui est malade.
-          le narrateur a-t-il des frères et des sœurs ? il n’a ni frère ni sœur. Il est l’unique enfant de ses parents.
-          Le narrateur dans « La boîte à merveilles » rejette les jeux des autres car :
        a)il n’aime pas jouer
         b) il préfère rester avec sa famille
         c)il a son monde imaginaire (vrai)
-          Le narrateur Sidi Mohammed est différent des enfants de son âge. Par quoi est-il différent ? il est différent par son penchant pour le rêve, l’invisible, le monde merveilleux alors que les autres bambins de son âge se contentent de tout ce qui est concret.
-          « Moi je ne voulais rien imiter, je voulais connaître » dans cette phrase le verbe ‘’’connaître’’a-t-il pour sens :
    a)faire connaissance ?
     b) inventer ?
    c) savoir ? (vrai)

-          Quel est le prénom du père du narrateur ? le prénom du père du narrateur c’est Abdeslem
-          Quel est le prénom de la mère du narrateur ? son prénom c’est Lalla Zoubida.
-          Quel est le prénom de la voyante ? le prénom de la voyante c’est Lalla Kanza.
-          Quels sont les voisins du narrateur ? les voisins du narrateur sont : la voyante Lalla Kanza au rez-de-chaussée / Rahma et Driss el Aouad ainsi que leur fille Zineb au premier étage   /  Fatma Bziouya qui partage avec la famille du narrateur le  deuxième étage.
-          Qui est Lalla Aicha ? c’est une ancienne voisine de la famille du narrateur et amie de Lalla Zoubida.
-          Quel est le métier du père du narrateur ? le métier du père du narrateur c’est un tisserand.
-          Il a voyagé aux environs de Fès. Que compte faire le père du narrateur ? il veut travailler comme moissonneur.
-          Est-ce qu’il a amassé de l’argent ? oui, il a amassé l’argent pour rouvrir son atelier.
-          Comment on a considéré le jour du retour du père du narrateur des environs de Fès ? ce jour-là a été considéré comme un jour de fête ; tout le monde est content même les voisins qui viennent souhaiter la bienvenue à Maalem Abdeslem.


Le résumé de La Boîte à Merveilles, d’Ahmed Sefrioui.

*L'auteur-narrateur-personnage (Sidi Mohamed) raconte son enfance en commençant son récit à l'âge de six ans. Il décrit son état de solitude et cite les différents locataires de Dar chouafa ( tanta Kenza) comme Driss El Aouad ( le fabricant des charrues), sa femme Rahma et leur fille Zineb, Fatma Bziouya ( la femme d'un jardinier et voisine de la famille du narrateur en deuxième étage). Il parle aussi du Msid et de sa timide amitié avec quelques camarades de l'école coranique et relate que ses véritables amis sont les objets et les personnages imaginaires de sa boite à merveilles. Ensuite, il parle de sa mère ( Lalla Zoubida) qui l'emmena au bain maure (hammam) endroit dans lequel le narrateur sentait "l'odeur du péché". Après les dures scènes du hammam, cette dernière revient raconter tout en détails à ses voisines et à son mari le lendemain. Ce chapitre se termine par une forte discussion entre la mère de sidi Mohamed et leur voisine Rahma qui a eu l'idée de faire la lessive le même jour que la mère du narrateur, ce qui a engendré l'évanouissement du narrateur.
*Le narrateur commence ce chapitre en racontant qu'après une journée dure au Msid, il rentre à la maison et trouve sa mère souffrant d'une terrible migraine. Ainsi, après le déjeuner, la famille reçoit une visite improvisée de Lalla Aîcha (ancienne voisine de lalla Zoubida). Cette dernière réussit à la convaincre de faire une visite à Sidi Ali Boughaleb pour guérir elle et son fils. Après toutes les complications pour réaliser le voyage, le narrateur, une fois à la zaouia, se fait griffer par un chat. Cela précipite le retour à la maison. Bénéficiant d'un congé, le narrateur assiste à la scène de l'habillage du père et reçoit un cabochon en verre à facette de Rahma pour sa boite à merveilles.
*Après une description de l'ambiance de l'école coranique, le narrateur rentre à la maison et il trouve que la chambre de Fatma Bziouya brillait d'un éclat inaccoutumé. Quand sa mère a vu que sa voisine avait une lampe à pétrole pour s'éclairer, elle finit par convaincre le père d'acheter une lampe pour eux aussi. Le lendemain matin, Rahma , qui était sortie pour assister à un baptême , revient en pleurant car elle avait perdu sa fille Zineb dans la foule…Après avoir trouvé la fille , Rahma organise un repas pour les pauvres pour remercier Dieu.
*Pendant les premiers jours du printemps, lalla Zoubida et le narrateur étaient invités à la maison de Lalla Aîcha qui habitait Zankat Hajjama. La femme qui était épiée par ses voisines, les loua à haute voix et chuchota à l'oreille de Lalla Zoubida sa véritable pensée. Sidi Mohamed jouait avec les enfants de la maison, et Lalla Aîcha et sa mère parlaient de Rahma. Le mari de Lalla Aicha ( Moulay Larbi Alaoui) rentre soudainement à la maison et demande à parler avec sa femme en privé, cette dernière raconta ensuite à Lalla Zoubida les problèmes de son mari avec son associé Abdelkader. La mère du narrateur raconte ces problèmes à son mari.
*Un mercredi, le Fquih, de bonne humeur, expliqua ses projets pour l'Achoura Quand le narrateur revient du Msid à la maison, il trouve sa mère en visite à Lalla Aicha, de retour, elle raconta les malheurs de cette dernière à Fatma puis à Rahma. Ensuite des cris annoncent la mort de Sidi Mohamed Ben Tahar (le coiffeur)…Le chapitre finit par une mésaventure du narrateur provoquée par le chat de Zineb qui lui a volé la chaîne de vert-de-gris offerte par sa mère.
*Les préparatifs pour l'Achoura commencent au Msid, le Fquih distribua les travaux par groupe. Le narrateur était fier d'être le chef des frotteurs. Le lendemain matin, il accompagna sa mère au Kissaria pour acheter un gilet. A son retour, il mène une dispute avec Zineb sans raison. Ensuite, le narrateur avait faim et commençait à rêver d'être un prince qui offre des repas aux mendiants. Après un moment, on écoute Rahma qui raconte L'histoire d'un couple (Khadija marié au vieux Othman.).
*La veille de l'Achoura, les femmes s'achètent des bendirs et des tambours. Le père du narrateur lui offre une trompette. Au Msid, il participa à l'équipement des lustres pour la nuit de L'Achoura. Le lendemain, le père de Sidi Mohamed l'emmène au coiffeur …Le jour de L'Achoura, le narrateur mit des vêtements neufs et alla au Msid pour les célébrations…Chez lui et après le repas de fête, sa famille reçoit une visite surprise de Lalla Aicha.
*Avec l'arrivée de la chaleur, les mouches envahissent la maison. Le Msid fut déménagé dans un petit sanctuaire. Un lundi, le père du narrateur rentre tôt à la maison pour accompagner sa femme au Souk des bijoux pour lui acheter des bracelets soleil et lune. Une fois au Souk, le père du narrateur entre dans une dispute avec un dellal malhonnête, ce qui provoqua sa perte dans la foule. La famille rentre donc à la maison pour attendre et pleurer. Plus tard, le père rentre avec les bracelets que sa femme refuse de prendre après les événements vécus à cause de ces bijoux. Après ces malheurs, le narrateur devint véritablement malade.
*Sidi Mohamed recevait des soins de sa mère pour guérir de sa fièvre. Le père de ce dernier annonce à sa femme qu'il avait perdu son capital pendant les enchères aux haiks. Ils ont décidé de vendre les bracelets. Ensuite le père prend la décision d'aller travailler aux environs de Fès pour résoudre ce problème. En partant, il laisse l'argent des bracelets à sa famille qui va vivre dans la solitude pendant l'absence du père. Pour accélérer la guérison du narrateur, Fatma lui apporte un genre de médicament à base de colle de farine "tadeffi". Ensuite la mère et son fils se rendent à la maison de Lalla Aicha pour rendre visite à un Fquih appelé Sidi El Arafi au quartier Seffah.
*Le narrateur sa mère et son amie Lalla Aicha arrivent chez le fquih. Ce dernier commence à présenter les prédictions voilées de ses visiteurs. Cette visite au voyant est restée cachée aux voisines de Lalla Zoubida qui leur a dit qu'elle était allée aux sanctuaires de la ville. Elle annonce à son fils qu'elle a décidé de le garder à la maison et de l'emmener chaque semaine prier sous la coupole d'un saint…Un matin elle reçoit la visite d'un envoyé de son mari qui lui apporta quelque nourriture.
*Après une invitation de la part de Lalla Aicha, le narrateur et sa mère se rendent chez elle. Lorsque les deux femmes étaient en train de converser, Salama (la marieuse) rend visite à Lalla Aicha et lui parle de son rôle dans le remariage de Moulay Laarbi avec la fille du coiffeur et les échecs de cette union. Zhor (la voisine de Lalla Aicha) arrive et apporte de nouveaux renseignements sur le mariage de ce couple. Cette scène se termine par un incident de la part du narrateur qui a renversé son verre de thé.
* Le dernier jour de cette histoire était plein de joie depuis ses premières heures du matin. Allal El Yacoubi (envoyé du père du narrateur), vient pour s'assurer de l'état de Sidi Mohamed. Soudain, Zineb vient annoncer qu'elle a vu Maalem Abdeslem près de la mosquée. Plus tard ce dernier rentra chez lui chargé de deux poulets et de la nourriture. Pendant que le narrateur parle avec son père, Driss El Aouad vint visiter le père et entre dans une longue conversation avec lui. Cette scène ennuya le narrateur et le poussa à se laisser emporter par le sommeil avec sa boite à merveilles à la main.
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Questions + Réponses

                                                                      Chapitre_1

-          Pourquoi le narrateur ne dort- il pas ?
-          le narrateur ne dort pas parce qu’il est écrasé par le poids de la solitude
-          Qu’est-ce qui montre que le narrateur va faire un retour en arrière ?
-          Ce qui montre que le narrateur va faire un retour en arrière c’est :« ma solitude ne date pas d’hier… »
-          Donnez un synonyme de « impasse » dans le deuxième paragraphe.
-          Le synonyme c’est « ruelle »
-          Quel est l’exemple qui montre que le narrateur était solitaire à l’âge de six ans ?
-          L’exemple qui montre que le narrateur était solitaire à l’âge de six est le fait qu’il voulait attraper un moineau « oiseau » pour en faire son compagnon.
-          Où habitait le narrateur ?
-          Le narrateur habitait au deuxième étage de dar chouafa. Une maison collective.
-           
-          A quoi réfère « nous » dans « nous habitions.. » ?
Le « nous » réfère au narrateur et à sa famille.
-          La voyante du rez-de-chaussée était adepte de quelle confrérie ?
La voyante du rez-de-chaussée était adepte de la confrérie Gnaouas.
-          A quoi s’adonner la voyante chaque moi ?
Chaque mois la voyante s’adonnait à un rituel de musique et de danse nègre à travers des nuages de Benjoin et de l’encens pour évoquer les Jnouns.
-          De combien d’étages se compose dar chouafa ? donnez les locataires respectifs de chaque étage.
-           Dar chouafa se compose d’un rez-de-chaussée occupé par la voyante, au premier étage habitait DrissEl Aouad, sa femme Rahma et leur fille âgée de sept ans (une seule chambre).  le deuxième étage était partagé entre Fatma Bziouya et la famille du narrateur.
-          Qu’arrivait-elle à la chouafa pendant la morte saison ?
Pendant la morte saison la chouafa découvrait ses propres maux et s’occupe de sa santé.
-          A quoi le narrateur assimile-t-il sa mémoire à l’âge de six ans ?
 Il assimile (compare) sa mémoire à un album qui l’aide à égayer sa solitude d’adulte.
-          Quelle est la valeur du présent dans « le soir, il rentre le cœur gros et les yeux rougis..… » ?
C’est un présent de narration qui marque l’importance des souvenirs d’enfance dans la vie d’adulte du narrateur.
-          Qu’est-ce qui distinguait le narrateur des autres enfants de six ans ?
Les autres enfants de six ans cherchaient à imiter alors que le narrateur voulait connaître.
-          Où se trouve l’école coranique du narrateur ?
L’école coranique du narrateur se trouve à Derb Nouala.
-          Quel sentiment éprouve le narrateur pour le bain maure ?
L’auteur éprouve de la répulsion et y décèle (découvrir) une odeur de péché.
-          Relevez le champ lexical du malaise du narrateur dans le bain maure.
Le champ lexical du malaise du narrateur : rester bête / sentir seul / l’enfer / tremblant de fièvre et de peur.
-          A quoi se livrait le narrateur quand sa mère ne le portait pas au bain maure ?
L’auteur se livrait à ses fantaisies en jouant dans le derb ou en inventant les trésors de sa boîte à merveilles.
-          Comment le narrateur considère-t-il les objets de sa boîte à merveilles ?
Le narrateur considère les objets de sa boîte à merveilles comme des amis.
-          A quoi réfère le narrateur quand il parle de « ses relations dans le monde de la légende » ?
Le narrateur réfère à ses amis imaginaires.
-          Quelles sont les fonctions du bain ?
Le bain servait à se purifier et à colporter (raconter) les potins et les commérages.
-          A quoi est dû le succès de la mère du narrateur auprès de ses voisines ? 
Le succès de la mère du narrateur est dû à son talent de raconter les histoires et toutes les choses vécues ou vues dans le bain maure.
-          Montrez que la mère du narrateur a tendance à la dramatisation ?
La mère du narrateur a tendance à la dramatisation parce qu’elle passe du rire le matin aux pleurs le soir, et ne manquait pas de donner au moindre incident les proportions d’une véritable catastrophe.
-          Dans quelle ville vit le narrateur ? quelles sont les origines de sa famille ?
La famille du narrateur vit à Fès et elle est d’origine montagnarde.
-          Est-ce que le mari croit en l’innocence de sa femme ? justifiez à partir du texte ?
Non, le mari ne croit pas en l’innocence de sa femme comme en témoigne la réplique suivante :  « avec qui t’es-tu encore disputée ? »


-          Pourquoi le narrateur s’évanouit-il ? 
Le narrateur s’évanouit parce qu’il ne pouvait plus supporter le bruit occasionné par la reprise de la dispute entre sa mère et Rahma.
-          Quelle est l’instance qui raconte dans le texte ? donnez sa valeur et montrez sa relation avec le genre.
L’instance qui raconte dans le texte est le « je » qui réfère à l’auteur, au narrateur et au personnage principal. Cela valide le genre de l’œuvre qui est un roman autobiographique.


                                                                      Chapitre_2

-          A quoi était consacré le matin au msid ?
le matin était consacré aux révisions des chapitres du Coran appris depuis l’entrée au msid.
-          Qui est Lalla Aicha ? et que conseille-t-elle à Lalla Zoubida ?
Lalla Aicha est une chérifa et ancienne voisine. Elle a rendu visite à Lalla Zoubida et elle lui a conseillé d’aller visiter Sidi Ali Boughaleb pour soulager ses maux de tête et pour guérir le petit Sidi Mohammed des yeux des envieux. 
-          Relevez le portrait de Lalla Aicha.
Elle est plus large que haute, la tête reposant sur le tronc ; des bras courts.
-          Une fois arrivé à Sid Ali Boughaleb que se passe-t-il ?
Une fois arrivé à sidi Boughaleb, la mère prit un peu d’eau en aspergea l’enfant en marmonnant de vagues prières et arrivant devant le catafalque, lalla Aicha et lalla Zoubida entrèrent dans un délire sacré.
-          Est-ce que les vertus attribuées à Sidi Ali Boughaleb se concrétisent-ils ?
non ; les vertus attribuées à sidi boughaleb ne se concrétisent pas puisque le narrateur au lieu d’être guéri il y est griffé à sang par un gros matou ( chat)
-          quel est le cérémonial des matinées à dar chouafa ?
le cérémonial à dar chouafa chaque matin est le suivant : les habitants se réveillent chacun à son rythme et échangent les salutations d’usage.
-          quelle récompense reçoit Sidi Mohammed le lendemain de sa visite à sida Ali boughaleb ?
il reçoit deux beignets qui lui sont offerts par Fatma.
-          quelles sont les origines de la famille du narrateur et quel est le métier de son père ?
la famille du narrateur est d’origine montagnarde et le métier de son père est tisserand.
-          Qui sont les employés du père narrateur ?
les employés du père du narrateur sont : un vieux qui aidait le père et Driss le teigneux qui garnissait les canettes et faisait les commissions.
-          Qu’est-ce qui montre que la famille du narrateur est assez aisée ?
ce qui montre que la famille du narrateur est assez aisée sont les dépenses domestiques du foyer qui étaient relativement importantes et aussi le fait que la famille mangeait la viande trois à quatre fois par semaine.
-          Quel cadeau a donné Rahma à Sidi Mohammed ?
Rahma a donné un cabochon de verre à facette que le narrateur ajoute aux trésors de sa boîte à merveilles.
                                                           Chapitre_3

-          Comment le narrateur passe-t-il sa journée au msid ?
Le narrateur s’ennuie et attend l’heure de sortie avec impatience.
-          Quel signe annonçait la fin de la journée au msid le vendredi ?
-          quand les élèves commençaient quelques vers de Bnou achir et les prières pour implorer la miséricorde de Dieu ; cela signifie le retour à la maison.
-          Pourquoi la chambre de Fatma Bziouya brillait-elle d’un éclat inaccoutumé ?
elle brillait d’un éclat inaccoutumé parce qu’elle avait acheté une lampe à pétrole.
-          Qu’est-il arrivé à Rahma ?
Elle a perdu sa fille zineb en se rendant au baptême de sa sœur khadija.
-          Montrez comment le malheur efface les disputes et consolide les liens des habitants.
 La mère de sidi Mohammed oublie sa dispute et court pour soutenir sa voisine dans son malheur.
-          Montrez comment la perte d’une jeune fille bascule du tragique au comique.
 La perte de Zineb cause beaucoup de peine à Rahma ; les voisines voulant partager le malheur de leur voisine chacune pleure pour des raisons différentes et surtout le narrateur qui pleure parce qu’il a faim.
-          Comment Rahma a-t-elle perdu sa fille ?
   elle a perdu sa fille en se rendant au baptême de sa sœur khadija dans le quartier el kalquyine .
-          Qu’est-ce que Rahma organise pour remercier Dieu d’avoir retrouvé sa fille ?
 Rahma organise un festin pour les pauvres pour remercier Dieu après avoir trouvé sa fille.
-          Quel est le recours de Sidi Mohammed aux moments de solitude ?
 Dans ses moments de solitude, Sidi Mohammed sort sa boîte à merveilles et déballe ses différents objets.
-          Est-ce que la boîte à merveilles a-t-elle toujours un effet sur le narrateur ?
 La boîte à merveilles ne ravit pas toujours Sidi Mohammed. Parfois, ses objets ne stimulent pas l’imagination du narrateur.

                                                           Chapitre_4

-          Chez qui le narrateur et sa mère sont-ils invités les premiers jours du printemps ?
Dans les premiers jours du printemps le narrateur et sa mère sont invités chez Lalla Aicha.
-          Dans quel chapitre a-t-on parlé de Lalla Aicha et qui est-elle ?
Le narrateur a parlé de Lalla Aicha dans le deuxième chapitre. C’était une relation qui flattait l’orgueil de sa mère puisque Lalla Aicha était une chérifa. C’est aussi une ancienne voisine et l’amie de Lalla Zoubida.
-          Montrez que Lalla Aicha se joue de ses voisines.
 Lalla Aicha sait que les voisines épient ses dires, c’est pourquoi elle ne manque pas de les flatter hautement avant de chuchoter à l’oreille de son invitée sa véritable pensée.
-          En quoi consiste le jeu du narrateur et les enfants de la maison ?
Le narrateur et les enfants jouent à recevoir des invités et à la mariée.
-          Par quoi finit le jeu des enfants ?  
Le jeu finit par une bataille et les hurlements.
-          Quel est le procédé narratif utilisé dans le passage « ma mère racontait……la dispute. »?
Le procédé narratif utilisé c’est le sommaire.
-          Quel type de portrait fait la mère des voisines ?
La mère fait des portrait valorisante de Rahma, sa voisine du premier étage, Fatma Bziouya, sa voisine d’en face et tante Kanza la chouafa.
-          Qu’est-ce qui montre que l’arrivée de My Larbi n’est pas attendue ?
Ce qui montre que son arrivée n’est pas attendue c’est l’usage de l’adverbe ‘’’inopinément’’. (Une chose qui arrive sans qu’on ne s’y attende pas)
-          Après le déjeuner de vendredi, que fait Lalla Zoubida?
Après le déjeuner du vendredi, Lalla Zoubida raconte les problèmes de My Larbi avec un certain Abdelkader.
-          Que fait le narrateur à propos du récit de son père concernant l’épicier Abdellah ?
le narrateur rapporte le récit de son père d’où l’usage des guillemets et il devient ainsi un narrateur relais (2ème narrateur).
-          Que fait le père dans son récit de l’histoire d’Abdellah ?
le père commente plutôt qu’il raconte les histoires d’Abdellah.
-          Qui est l’épicier Abdellah  ?  Abdellah tient un fonds de commerce consistant en deux grappes de balais de palmier nain, une douzaine de couffins, un paquet de ficelles et quelques boîtes qu’on suppose remplis d’épices.
-          Quelle est la caractéristique principale de ce personnage ? argumentez.  La caractéristique de ce personnage c’est qu’il est mystérieux et insaisissable puisque les points de vue le concernant sont contradictoires.
-          Quelle est la caractéristique du récit dans ce chapitre ?  la caractéristique du récit dans ce chapitre c’est l’emboîtement.
-          Relevez l’emboîtement du récit dans ce chapitre.  L’emboîtement dans ce chapitre est comme suit :


Le père du narrateur raconte à son épouse et à son fils les histoires de l’épicier Abdellah.

La mère du narrateur raconte la dispute de Moulay Larbi avec son associer Abdelkader

Le narrateur premier raconte les préparatifs de la visite à Lalla Aicha.
                                                                                           1                                                                                                                                  
                                                                                                                  
                                                                                                                                                                  2                                                                                                                 
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                        3


                                                         Chapitre_5

-          Quelle est la cause de l’absence de la mère du narrateur ?   
 La mère s’est absentée pour assister Lalla Aicha qui vient la chercher.
-          Que fait la mère du narrateur en rentrant à la maison ?
Elle donne à manger à son fils et se presse pour raconter les malheurs de Lalla Aicha à Fatma Bziouya et Rahma.



-          En quoi consistent les malheurs de Lalla Aicha ?
 Lalla Aicha a tout vendu, meubles et bijoux pour acheter le matériel nécessaire à l’installation du nouvel atelier de son mari My Larbi.
-          Par quoi la mort de sidi Mohammed Ben Taher est-elle annoncée ?
La mort de Sidi Mohammed Ben Taher a été annoncée par des hurlements, des pleurs et des vociférations.
-          Relevez le cérémonial funèbre de Sidi Mohammed Ben Taher. 
A la mort de Sidi Mohammed Ben Taher, les pleurs vociféraient les lamentations, adressaient des prières à Dieu, invoquaient les saints. Loin des femmes, les psalmistes récitaient quant à eux des chapitres du Coran. Après les ablutions rituelles, le cadavre fut vêtu de blanc et emporté par les hommes sur une civière pour être enfin enfoui dans une terre humide.
-          D’après le texte est-ce que les cortèges d’enterrement se ressemblent ?
Non, ils ne se ressemblent pas ; il y a des morts qui sont accompagnés d’une foule nombreuse et des morts sans personne pour les accompagner à leur dernière demeure.
-          Comment le père lui explique-t-il le cas des morts solitaires ?
  Il lui explique les morts solitaires par l’histoire de l’homme pieux qui tenait une boutique dans un souk.
-          Dans le délire du narrateur en quoi sa boîte à merveilles se métamorphose-t-elle ?
Dans le délire du narrateur sa boîte se transforme en un cercueil qui l’emporte dans des palais d’émeraude.
-          Par quoi le narrateur meuble-t-il sa journée de repos après son accès de fièvre ?
 Il meuble sa journée en écoutant les bruits de la maison.
-          Relevez les bruits de la maison.
 Les bruits de la maison sont : soufflets, des explosions d’étincelles, des phrases chuchotées, le récolement d’un pigeon, le martèlement à la porte, le chant du moudden, le choc du bourdon contre le verre de la lampe.
-          Quel est l’objet qui s’ajoute à la boîte à merveilles du narrateur ? Par qui est-il offert ?
 Le nouvel objet qui s’ajoute aux merveilles de Sidi Mohammed c’est une chaînette de cuivre rangée de vert-de-gris et elle est offerte par la mère du narrateur.
-          Comment le narrateur transforme-t-il la chainette en cuivre en or pur ?
  Il la transforme en or pur en la frottant avec le sable et en la rinçant.
-          Qu’arrive-t-il à la chaîne du narrateur ?
 Il a mis la chaînette sur le cou du chat de Zineb, ce dernier n’arrive pas à l’enlever alors il part avec elle.
-          Par quoi finit la mésaventure du narrateur avec le chat de Zineb ?
 Elle finit par une dispute violente entre le narrateur et Zineb. Le narrateur a accusé Zineb d’être à l’origine de la disparition de sa chaîne.

                                                               Chapitre_6

-          Que se passe-t-il au msid à l’occasion d’Achoura ?
 À l’occasion d’achoura, le Fqih collecte les dons pour renouveler les nattes. Il forme des équipes pour blanchir les murs et nettoyer le sol.
-          Quel rôle joue le narrateur dans le nettoyage du Msid ?
  Le narrateur est nommé chef des frotteurs et fonctions. Cela le remplit de fierté.
-          Pourquoi le narrateur accompagne-t-il sa mère à la kissaria ?
 Il accompagne sa mère à la kissaria pour acheter les habits d’achoura.


-          Pourquoi le narrateur est-il réprimandé avant de sortir à la kissaria ?
  Il est réprimandé parce qu’il n’a pas entendu les appels de sa mère alors qu’il exprime sa joie sur la terrasse.
-          Quels sont les objets achetés par la mère du narrateur à la kissaria ?
 Les objets achetés par la mère sont : trois coudés de cotonnade blanche de la « marque poisson » et un gilet rouge à soutaches.
-          A quoi se compare le narrateur le jour d’Achoura habillé avec son gilet rouge ?
 Il se compare à un prince de légende.
-          Quelle histoire raconte Rahma dans ce chapitre ? Rahma raconte l’histoire de l’oncle Othmane que la vieille M’barka lui a racontée.


                                                             Chapitre_7

-          Qu’est-ce que les femmes ont acheté pour achoura ?
  Pour achoura, les femmes ont acheté les tambours et les bendirs.
-          Pourquoi Hammoussa vient-il interrompre le récital à la trompette du narrateur ?
  Hammoussa vient interrompre le jeu à la trompette du narrateur parce que le Fqih le réclame au Msid.
-          Quelle récompense Lalla Kanza a-t-elle donné au narrateur pour lui avoir apporté un brin de menthe ?
   Elle lui donne une poignée de grain de sésame.
-          Où le père du narrateur comptait-il l’emmener le lendemain ?
  Il comptait l’emmener au souk pour choisir des jouets, acheter un cierge et se couper les cheveux.
-          Qu’arrive-t-il à Sidi Mohammed alors que le coiffeur le rasait ?
  Il s’endormit puis réveillé, il a mal au cœur.
-          Que fait Sidi Mohammed pour enrager Zineb et la rendre jalouse ?
  Il s’équipe d’homme-orchestre pour exhiber tous ses jouets et joue à une composition à crever le tympan.
-          Par quoi finit le concert donné par le narrateur et les enfants des maisons mitoyennes ?
 il finit par un bain dans une eau bouillante.
-          Montrez comment le sentiment de supériorité de Sidi Mohammed dans ses habits neufs est démenti par quelques désagréments.
Bien que tout ce que portait Sidi Mohammed était neuf, rien n’était à sa taille. Ils étaient tous d’une taille plus large.
-          Relevez les éléments du merveilleux dans le msid le jour d’achoura.
Le jour d’achoura, la façade habituellement triste, avait un décor de féerie et à l’intérieur, les condisciples étaient tous richement habillés.
-          Par quoi se termine la célébration d’achoura au Msid ?  la célébration d’achoura se termine par une longue invocation et par un congé de quatre jours.
-          Quel a été le programme prévu le jour d’achoura ?
  Le matin, sidi Mohammed doit accompagner son père à My Driss pour la prière, et après le déjeuner, le narrateur devait accompagner sa mère chez son amie Lalla Aicha.
-          Quel imprévu change le programme prévu l’après-midi d’achoura ?
 L’imprévu qui a changé le programme c’est l’arrivée de Lalla Aicha.
-          Quel vœu avait Sid Mohammed l’après-midi de l’achoura ? a-t-il été exhaussé ?
 Le vœu de Sidi Mohammed est de jouer au tambour et il fut exhaussé puisque sa mère lui permet d’aller sur la terrasse afin de se ménager tête à tête avec Lalla Aicha.

                                                         Chapitre_8

-          Avec l’arrivée de la chaleur, où le msid fut-il déménagé ? il est déménagé dans le mausolée à deux pas plus loin et où il faisait froid.
-          Quel changement opère le mausolée sur Sid Mohammed ?
  sa santé physique s’améliorait et sa mémoire devint excellente.
-          Qu’est-ce qui justifie l’ardeur de Sidi Mohammed dans son travail ?
  Son ardeur dans le travail est justifiée par les deux heures de rêves qu’il s’octroyait l’après-midi.
-          Que va-t-il arriver dans le souk des bijoux ?  
Le père et un courtier ont une dispute à cause de l’achat des bracelets.
-          Qu’est-il arrivé quand le père fut rentré ? Est-ce que la mère est contente d’avoir acheté les bracelets ? pourquoi ?
  En rentrant, le père rapporte les deux bracelets, mais la mère n’est pas contente et elle ne voulait pas les porter en croyant qu’ils apporteront le malheur dans la maison.
-          Quels sont les malheurs de Lalla Aicha ?
 Lalla Aicha se rendait chez la mère du narrateur et lui révélait que son mari My Larbi l’avait abandonné et qu’il allait se marier avec une jeune fille (la fille du coiffeur) .
-          Qu’arrive-t-il à Sidi Mohammed ?  
Sidi Mohammed, touché par les pleurs de sa mère et de LallaAicha, vomit sur ses couvertures.

                                                                         Chapitre_9

-          Montrez comment les prédictions de la mère se réalisent. Le malheur touche la maison de Lalla Zoubida puisque le père a perdu tout son argent dans la cohue. il veut changer la marchandise et en allant l’acheter, il perd tout son fond.
-          Que compte faire le père du narrateur pour régler ses problèmes d’argent ?
 Il décide de voyager et de travailler comme moissonneur aux environs de Fès ; il doit s’absenter pendant un mois.
-          Montrez comment la famille est régie par la figure du père.
Le père représente la protection ; sa seule présence assure le respect.
-          En quoi se transforme la boîte à merveilles du narrateur ?
 Elle se transforme en un cercueil où gisaient les rêves de Sidi Mohammed.
-          Pourquoi l’imagination de Sidi Mohammed s’est-elle tarie ?
 Son imagination s’est tarie parce qu’il est attristé par le départ de son père.
-          Que représente la nuit pour Sidi Mohammed ?
  La nuit représente pour le narrateur un temps et un espace qui lui permettent de s’évader de ses contraintes et de prendre parfois sa revanche.
-          Pourquoi Lalla Zoubida rend-t-elle visite avec son fils à Lalla Aicha ?
Elle se rend avec son fils chez Lalla Aicha parce que cette dernière doit l’accompagner chez un voyant Sid El Arrafi qui prévoit l’avenir.

                                                                                   Chapitre_10

-          Montrez que la visite de Sidi El Arafi pour le narrateur est une nouvelle naissance.  
C’est une nouvelle naissance pour lui parce que le monde s’offrait à son regard dans sa propreté originelle.



-          Est-ce que la mère du narrateur raconte sa visite à Sidi El Arafi ?
  Non, elle ne parle pas de sa visite à Sid El Arafi. Elle prédit qu’elle est allée faire un pèlerinage aux sanctuaires de la ville.
-          Qu’est-ce que le messager de Maalem Abdeslem apporte à Lalla Zoubida ?
 Le messager de Maalem Abdeslem apporte à Lalla Zoubida : une douzaine d’œufs un pot de terre plein de beurre et une bouteille d’huile d’un brun sombre.
-          Que demande Lalla Aicha à Lalla Zoubida ?
 Elle lui demande de lui rendre visite le lendemain afin qu’elle lui raconte des nouveaux à propos du mariage de son mari My Larbi.

                                                                     Chapitre_11 et_12

-          D’après Salama pourquoi My Larbi veut-il se marier ?
 Il voulait se marier parce qu’il veut avoir des enfants et il croit qu’il gagne assez pour ouvrir deux foyers.
-          Est-ce que le mariage de My Larbi est un mariage heureux ?
 Non, il n’est pas heureux parce que sa femme multipliait ses exigences.
-          Que raconte Zhor à propos du mariage de My Larbi avec la fille du coiffeur ?
 Elle raconte l’incident qui s’est passé chez My Larbi : la fille du coiffeur casse tout en menaçant de se suicider. Elle ne veut pas le foulard que ce dernier lui a acheté. En plus elle est paresseuse ; les provisions doivent attendre le soir pour être cuites.
-          Comment est décrit le jour du retour du père ?  
il est décrit comme le jour de fête.
-          Quelle nouvelle apporte Zineb à Lalla Zoubida ?
 Zineb annonce le retour de Maalem Abdeslem.
-          Qu’apprend Driss el Aouad à Maalem Abdeslem à son retour ?
 Driss El Aouad apprend à Maalem Abdeslem le divorce de My Larbi avec la fille du coiffeur.
-          Quel est l’avis de Maalem Abdeslem de la polygamie (se marier avec plusieurs femmes) ?
 Il n’est pas d’accord avec le mariage avec plusieurs femmes ; il trouve déjà difficile de mener une seule femme
-          D’après le texte à quel âge l’auteur a-t-il écrit son roman ?  l’auteur écrit son roman à l’âge de trente-sept ans.





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